Toutefois, les policiers ont découvert un nouveau mode d’intrusion chez les particuliers qui consiste à faire fondre le barrillet avec un mélange d’acides sans pour autant être arrivé à identifier le ou les produit(s) utilisé(s).
Pas de piste pour l’instant
Ce sont deux départements qui ont été particulièrement touchés en juillet et en août: les Hauts-de-Seine (92) et les Yvelines (78). Dans une interview au Parisien, un policier explique que « Ce produit, qui pourrait être de l’acide ou de l’azote liquide, entraîne la détérioration du système de fermeture et permet aux malfaiteurs d’ouvrir en glissant un outil à l’intérieur sans endommager la porte ». Une seule constante a été découverte pour l’instant : des traces jaunes ou oranges de ce liquide ont été retrouvées chez une cinquantaine de victimes.
L’enquêteur poursuit : « Ces malfaiteurs ne volent pas d’appareils électroniques et ne ciblent que l’argent et les bijoux pour des préjudices qui se chiffrent entre 10 000 à 30 000 euros. Ce qui est la marque de la délinquance organisée car ils font preuve d’une certaine maîtrise ». On remarque aussi que les appartements ne sont pas saccagés, ils sont même laissés en parfait état la plupart du temps. L’été dernier, des remarques similaires avaient été faites sur l’état des logements avant de découvrir que c’était pour ne pas éveiller de soupçons sur le fait que les cambriolages étaient surtout destinés à prendre en photo un maximum de documents officiels afin de voler l’identité de leurs victimes.
Différentes hypothèses sont à l’étude
En charge d’enquêtes sur ces nouvelles méthodes, un policier confie qu’on «ne sait pas s’il s’agit de vieux routiers du vol par effraction, d’une bande originaire d’Europe de l’Est ou d’une cité parisienne». Comme pour tous les cambriolages, la police scientifique relève les traces et indices sur les lieux pour y relever des empreintes digitales ou génétiques qui permettent de les comparer aux fichiers. «C’est une méthode qui est utile lorsque l’auteur a déjà été arrêté et cela permet de monter un dossier en lui imputant tous les faits où il a laissé sa patte». Toutefois, le problème est qu’il y en a tellement, que, souvent, ces relevés d’empreintes ne donnent rien. Il s’agit plus d’établir un constat pour les assurances que de retrouver les malfrats. Seule exception: le flagrant délit… Mais il reste rare!
Odile B …. 100% d’accord avec votre commentaire surtout au sujet du gouvernement ! il en est de même pour les cambriolages , les trafiquants de drogue , les attaques au couteau , les viols etc. …. les médias font silence sur le nom de ces personnages , alors que dans certains pays ils n’hésitent pas à dire carrément le nom de ces malfrats , voyous ou détraqués …
Jaune ou orange? Ça doit être du perchlorure de fer. Utilisé en électronique.
Une fois de plus les journaleux à la botte de l’état diffuse des évènements qui n’en sont pas mis à part Maryse Burgot à qui je voue une admiration totale pour sa fonction et qui fait preuve d’un courage sans faille ainsi que sa collègue Ulysse Lucet sur des faits différent mais des vérités qui force le respect.
Cette profession a perdue de sa superbe par les actes sans reliefs qui n’apportent rien si ce n’est cacher des vérités sur la réalité des faits commis par la racaille et les politiques eux même .
Nous vivons depuis l’élection de Mr Hollande et son successeur des situations complètement ubuesques.
C’est bien, on explique presque comment faire