Pour 44 milliards de dollars, l’homme le plus riche du monde vient de racheter le réseau social de l’oiseau bleu… « L’oiseau est libéré » a-t-il dit jeudi dernier.
« Que la fête commence »
« Que la fête commence », « l’oiseau est libéré », « la comédie est désormais légale sur Twitter »… c’est par ces mots provocateurs que l’intrépide entrepreneur a officialisé le rachat de la plateforme Twitter. La sphère d’influence d’Elon Musk s’étend désormais à une autre dimension, Imprévisible et téméraire cela n’est pas du goût de tous.
Concurrent de Tesla, l’entreprise d’Elon Musk, General Motors, apprenant la nouvelle, a immédiatement déclaré qu’ils stopperaient « temporairement » leurs publicités au sein du réseau social. Le de voir l’évolution du réseau suite à son rachat, le géant américain prend ses dispositions.
Un vent nouveau souffle déjà sur Twitter, à peine arrivé aux commandes Elon Musk a déjà remercié les. Trois principaux dirigeants. Selon le Washington Post, trois quarts des 7500 salariés seraient sur la sélecte.
Radical défenseur de la liberté d’expression
Sur ce réseau social, le première volonté exprimée par Elon Musk est d’alléger les contraintes d’expression. Et c’est certainement ce qui fait craindre le plus, nombres d’utilisateurs, qui jugent déjà certaines interactions de « violentes ».
Et si les publications sont moins réglementées, des personnalités bannies pourraient y revenir.
On citera notamment, Donald Trump, fait partie de la liste des personnalités qui pourraient faire leur retour sur le réseau social, interdit d’y être après y avoir soutenu les activistes de l’attaque du Capitole. Propos homophobes, revenge porn ou conspiracionistes,… bien d’autres personnalités connues et évincées du réseau pourraient voir leur compte rouvert.