Laurent Bigorgne lui aurait administré cette drogue pour pouvoir « afin de « commettre à son égard un viol ou une agression sexuelle », d’après le tribunal correctionnel. Il a été condamné à douze mois d’emprisonnement avec sursis et 2.000 euros d’amende, jeudi 8 décembre, à Paris.
De la MDMA dans le verre
Sophie Conrad, son ancienne collaboratrice, a déposé plainte dans la nuit du 22 au 23 février dernier, après un dîner chez Laurent Bigorgne. L’homme est aussi l’ex-mari de sa sœur. Elle boit une demi-coupe de champagne et commence à se sentir droguée. Elle arrive tout de même à s’en aller et à se rendre à l’hôpital. Selon les résultats de ses analyses, elle aurait pris de la MDMA, drogue appartenant aux amphétamines ou ecstasy.
Laurent Bigorgne est placé en garde à vue, où il reconnaît qu’il a pris de la cocaïne et versé de la MDMA dans le verre de Sophie Conrad. En revanche, il conteste le fait qu’il voulait lui imposer une relation sexuelle. Durant l’audience, la victime déclare qu’elle n’a « vraiment aucun doute sur le fait que son intention était, hélas, sexuelle et de me violer ». Quant à l’accusé, il démissionne de l’Institut Montaigne, think tank libéral, le 27 février, après onze ans à sa direction.
Une reconnaissance complète
La peine prononcée est en deçà des réquisitions du parquet. Ce dernier demandait dix-huit mois d’emprisonnement avec sursis et une obligation de soins, sans retenir l’intention sexuelle, le 10 novembre. L’accusé, proche d’Emmanuel Macron, était absent lors du délibéré.
Il compte « immédiatement » faire appel de cette « décision insensée, incohérente », d’après Me Sébastien Schapira, son avocat. « C’est une reconnaissance de ce qui s’est passé et des faits et une reconnaissance complète », conclut Sophie Conrad.
Il me semble que ce charmant personnage aurait dû être condamné rien que pour avoir drogue une personne sans prévaloir de ses intentions qui n’étaient certainement pas très louable. Quand à l’amende ridicule en France on a des peines plus lourdes quand on maltraite un animal plutôt qu’une femme. Cherchez l’erreur
Pas cher payé.
Je crois que oui… »justice » à 2 vitesses dans ce petit pays corrompu de m….!
ça me rappelle:
Un vendredi de cette année (je n’ai pas noté la date) à Paris, Gérard Depardieu a été repéré par des policiers alors qu’il enfreignait le code de la route au guidon de son scooter. Le Point, se basant sur les déclarations des forces de l’ordre, indiquent que l’acteur ne tenait ainsi pas compte de la ligne blanche et d’un feu rouge. Un équipage de policiers a demandé à Gérard Depardieu de s’immobiliser, ce qu’il a fait en s’arrêtant près d’un commissariat du XIVe arrondissement.
Contrôlé sur son scooter, Gérard Depardieu avoue avoir bu deux bières
Il est à souligner que jusqu’ici, les fonctionnaires ignoraient que Gérard Depardieu conduisait le scooter. L’individu leur étant apparu en état d’ivresse, les fonctionnaires lui ont demandé de souffler dans l’éthylomètre. Et c’est au moment où cette personne a retiré son casque et que son identité a été révélée. Effectué, le test est apparu positif, ce qui signifie que Gérard Depardieu affichait un taux supérieur à 0,25 gramme d’alcool par litre d’air, mais toutefois en dessous de 0,5. L’acteur a reconnu avoir bu deux bières.
Alors que l’acteur allait écoper d’une amende, l’état-major de la préfecture de police a appelé le commissaire de la compagnie de sécurisation et d’intervention de Paris, alors de permanence. Un commissaire qui a alors ordonné aux policiers de ne pas verbaliser Gérard Depardieu. Pendant cette attente, ce dernier a pris ses distances avec sa terre natale en affirmant ainsi aux agents ne plus vouloir être Français. Il a ajouté préférer Vladimir Poutine, qui lui a d’ailleurs permis de devenir citoyen russe. Même si n’ayant pas été verbalisé, Gérard Depardieu est toutefois reparti sans son scooter, des amis qui l’avaient rejoint ayant proposé de le raccompagner.
Si je me fais choper pour des faits similaires je saurai quoi répondre!