Il n’est toujours pas dans son rôle de ministre
Pap Ndiaye portait beaucoup d’espoir sur ses épaules mais il n’arrive pas à enfiler le costume de ministre. On l’entend peu dans les médias mais on l’entend encore moins dans son ministère. Trop distant, trop dans l’observation, inerte face à une crise de l’enseignement jamais vue, l’entourage du chef de l’État a dépassé le stade de l’inquiétude pour demander à ce qu’on réfléchisse à son remplaçant. Même au sein de la gauche et de l’extrême gauche qui avaient largement soutenu cette nomination, on s’impatiente de voir une mesure concrète arriver.
Alexis Corbière, député LFI et ancien enseignant, dira qu’«on peine à voir où est la différence fondamentale pour l’école». Le président du Syndicat national des lycées et collèges, Jean-Rémi Girard, ajoutera «On ne sait pas forcément quelle vision il a…». Toutefois, pour le ministre de l’Éducation, tout va bien. Il confiera qu’«il n’y a pas qu’une manière de faire dans la vie politique. J’assume de ne pas être dans la médiatisation permanente. Je mise sur le travail de fond et c’est comme ça qu’on sert au mieux l’intérêt de l’école et des élèves».
Pap Ndiaye n’arrive pas à imprimer sa marque
Au-delà de cela, on le dit malheureux à ce poste. Une députée de la macronie explique: «je le sens surtout très malheureux dans son job». S’il jure y trouver son bonheur, le ministre concède qu’il n’a toujours pas digéré les attaques du RN quand il est arrivé rue de Grenelle: «Ça m’a marqué. On ne sort pas complètement indemne de cette violence, surtout avec une dimension raciste très forte». Il était attaqué sur ses positions «wokistes» et non pas sur sa couleur de peau. Mais, quelle que soit la raison, un conseiller du président résumera la situation en expliquant qu’«il s’est mangé un K.-O. dès le départ et n’arrive pas à s’en relever».
Quand on aura un ministre qui prendra la réalité en compte (l’état désastreux du système) et redressera les choses cela sera une vraie LIBÉRATION.
Même à moyens constants il y aurait pléthore de choses à effectuer pour redresser le système, à commencer par défendre les profs et restaurer leur autorité, rendre l’enseignement à nouveau sélectif et « dégager » les élèves qui ne jouent pas le jeu ou refusent de travailler, revenir à un bac général « fléché » (L-ES-S), etc.
Il faudrait également remonter le niveau des programmes de CPGE scientifiques et supprimer toutes ces options et Y qui compliquent la vie des étudiants : avoir des ingénieurs qui tiennent la route c’est vital pour le pays et pour y relocaliser la production.
Enfin arrêter la « pseudo-lutte contre les stéréotypes » serait très bienvenu (un prof ou élève homme venant en jupes se ferait certainement rappeler à l’ordre) au profit d’une meilleure orientation (qui est-tu, quelles sont tes limites et points forts, que pourras-tu faire ou non).
Mais avec toute cette bureaucratie hors-sol, sorte de nouvelle noblesse, espérer un retour à la NORMALITÉ est sans-doute un rêve fou de vieux/vielle déjà un peu sénile…
Professeur d’école à la retraite, j’ai connu, durant mon activité, 16 ministres, plus ou moins compétents, mais le pire, qui a commencé avec Mme Belkacem et sa théorie du genre, vient d’être atteint avec ce ministre-là. J’ai connu les maths modernes de Chevènement, qui ont sacrifié une génération d’écoliers, l’inventaire orthographique, (censé remplacer les fameuses règles d’orthographe) catastrophique (que je n’ai d’ailleurs jamais employé), la lecture globale, puis mixte… pour revenir après tant d’années, à notre bonne lecture syllabique d’antan. Je pense sincèrement que le jour où les professeurs se borneront à inculquer à leurs élèves les anciens savoirs fondamentaux (français, maths, histoire, géo, sciences, morale et sport), l’on pourra sortir de cette spirale infernale conduisant les élèves à un bac pour tous, mais qui n’a plus aucune valeur.
Ce type est un gros nul et ne correspond pas du tout à l’image de l’Education nationale ..Il se fait plaisir à lui . Le reste ……..C’est du grand n’importe quoi ! En plus , il n’est pas sympathique , il est pédant….Et pourtant , il n’y a pas de quoi !
Êtes-vous partisane?
Se prendre des KO comme dit son entourage n’aide pas à entrer dans le costume de ministre de l’éducation nationale !!!
Cette institution est arriérée, depuis 1968 elle n’a fait que plonger et je ne vois pas qui pourra la réformer, trop de prétentieux !!!
Des associations sont plus performantes pour remettre des jeunes sur le chemin des études, alors des ministres !!!!
« ça » un ministre de la France??? Non mais on croit réver!!
A croire qu’on est allé trop loin, en privilégiant le soutien scolaire, les enfants qui suivent et travaillent normalement s’ennuient à l’école…Qu’on mise tout simplement sur les fondamentaux et le français, en avançant dans le programme! Qu’on recrée les filières d’apprentissage pour ceux qui ne peuvent pas suivre. A force de vouloir à tout prix faire de « l’alphabétisation » à l’école, les bons élèves stagnent et s’ennuient…
Peut être le pire de ce gouvernement. Comme disait Pascal Praud dans son émission 9 ministres sur 10 sont des incompétents, et Pap Ndaye devrait demissioner !!
Racialiste, wokiste !!!
Il me semble que la Macronie savait dès le départ qui était ce futur ministre …le coup de l’erreur de casting est un peu gros … Le travail est tellement énorme pour réformer l’éducation nationale que cela parait impossible
Ça suffit le wokisme, ouste, de l’air, du vent, du balai !
Du balai ….. il s’en fiche de dégager car malgré son incompétence cela ne l’empêchera pas de toucher une bonne retraite de ministre à vie et payée …… avec notre pognon , ils sont nombreux dans ce cas là . Peut-être a-t-il été mis en place juste pour avoir sa retraite de ministre ? Tout est bien calculé au gouvernement pour nous faire avaler n’importe quoi . Je pense que Macron et les autres savaient très bien ce que valait ce bon à rien qui , il me semble , critique et n’aime pas le pays ? Pauvre France , tout se casse » la gueule » …
Effectivement, il y a un problème de personnage !