Des désaccords sur la méthode à employer
Comme le précise Yvan Ricordeau, secrétaire national CFDT chargé des retraites: «Les modalités ne sont pas encore définies». Il explique que des discussions sont prévues dès jeudi soir, au terme d’une cinquième journée de mobilisation intersyndicale. Mais la ligne à suivre est déjà claire: «monter crescendo en termes de mobilisation». Ricordeau ajoute «nous avons des manifestations historiques, mais, pour l’instant, nous n’avons pas de réponse du gouvernement, déplore le syndicaliste. L’idée est donc de monter encore d’un cran : faire des manifestations encore plus importantes en nombre et autour, prendre des initiatives qui donneront encore d’autres images de la mobilisation contre la réforme des 64 ans».
Laurent Berger est encore plus flou sur la méthodologie. Sur RTL, il dira simplement: «En intersyndicale, on a décidé de la journée du 7 mars, rien d’autre». Ricordeau précisera que «la grande force de la mobilisation telle qu’elle a démarré, c’est de représenter l’ensemble du territoire et l’ensemble des professions. Le mot d’ordre d’une grève reconductible ne correspond qu’à deux ou trois secteurs professionnels qui ont une culture de mobilisation qui ne peut pas se déployer partout ailleurs». Mais quand on pose la question sur les blocages de secteurs clés comme celui de l’énergie, Berger répond: «Secteur par secteur, les choses se décideront». CFDT. Pour l’heure, tous sont sur la même ligne que le communiqué de l’intersyndicale.
La stratégie: cette grande inconnue!
Pour l’instant, seule la date du mouvement semble être commune à tous les syndicats. Lundi 13 février, l’Union syndicale Solidaires a appelé à la grève reconductible, dans le public et le privé, «selon les modalités propres à chaque secteur, avec inventivité et détermination», à partir du 7 mars. Murielle Guilbert, co-déléguée générale de l’Union syndicale Solidaires, indique que «pour nous, cela s’articule complètement avec l’intersyndicale. Malgré nos spécificités entre organisations, à la fin nous voulons gagner. Nous pensons que c’est par une grève générale et reconductible que nous allons engager un rapport de force gagnant à la fin». Mais cette ligne est écartée par d’autres.
Martinez avec ses 6000€ par mois, n’existe que par le bordel qu’il créer.
Le sort des travailleurs est accessoires pour lui …
oui, mais le mexicon, heu…mexicain il est socialiste et a su tirer toutes les ficelles pour palper sans bosser! Comme hollande, la retraite qu’il se tire malgré son fiasco et cause la ruine de dizaines de milliers de petites entreprise , comme le mélanchard qui a un solide compte en banque (100000€) qui n’a jamais rien branlé de sa vie à part vivre de la politique, ce sont aussi de bons « socialistes »!
Fumiers de pourris, je reconnais bien là la gauche! Ces feignasses ça veut faire admettre leurs idées par la force!!! cgt, fo et autres fabriques à chômeurs seraient bien chez poutine!
Suis pas de gauche mais solidaire du mouvement. C’est le gouvernement de Macron qui essaye de faire passer une réforme en force, sans consensus.
C’est une situation où il faudrait un vote sur l’idée (le report à 64 ans) et non sur des personnes (députés & président).
Réforme en force…mais cette réforme vise à niveler les retraites et à donner un minimum de retraite décente aux plus petits revenus. Je ne suis pas de gauche, mais je vois que nos syndicacats pourris pensent toujours à leur petite gueule à eux (en bons « socialistes » qu »ils sont, c’est à dire « que les autres travaillent pour moi, mais moi, le boulot me donne de l’urticaire et pas question que je bosse pour eux!!!).
De toute façon il est mort notre régime de retraite une majorité de jeunes qui n’ont pas commencé à travailler font grève (???) et pensent déjà à une retraite confortable plutôt qu »à leur carrière……..mais ils n’auront RIEN au train où on va!