La macronie en ordre dispersé
Que se passe-t-il à l’Assemblée nationale? La pagaille engendrée par la Nupes, mais surtout par les députés LFI, est-elle en train de s’étendre à tous les groupes? Après les deux bras d’honneur adressés par le ministre de la Justice, Éric Dupond-Moretti, au président du groupe LR Olivier Marleix en pleine cession parlementaire sans qu’il n’y ait aucune sanction, voici le le texte porté par Aurore Bergé rejeté par ses collègues, par 140 voix contre 113, et 14 abstentions.
Pourtant, la députée des Yvelines avait mis beaucoup d’émotions dans son allocution allant jusqu’à dire qu’elle «savait de quoi elle parle». Son projet de loi voulait ainsi élargir la peine complémentaire obligatoire d’inéligibilité à une série de violences aggravées : celles commises sur un mineur de moins de 15 ans, une personne vulnérable, le conjoint ou encore en cas de motivation raciste, lorsqu’elles ont entraîné une incapacité totale de travail inférieure ou égale à 8 jours – la loi couvre déjà les ITT de plus de 8 jours.
La dictature de l’émotion
Et c’est bien ce qui est reproché à Aurore Bergé. Même si le texte ne se voulait pas rétroactif, la députée estimait qu’il «répond à des attentes fortes de nos concitoyens». Toutefois, les votes contre sont venus de ses propres alliés à commencer par le Modem et Horizons qui ont pointé soit «une loi de circonstance», soit une «dictature de l’émotion». De plus, les élus LR qui avait d’abord soutenu le texte ont finalement voté contre eux aussi.
c’est bien la qu’on vois que les député sont des criminels, ils refusent de faire le ménage dans leurs rangs, tous partis confondu.
pourtant c’est bien un sujet sur lequel, le « clan » devrais être oublier pour qu’un système plus juste soit mis en place.
il semblerais qu’ils aient tous , a part les rare qui on voter pour cette loi, quelque chose a se reprocher et on peur de perdre leurs privilèges.
pourtant ce serais une loi juste qui assainirais la sphère politique
un point sur lequel les lobbys ne pourrais plus s’appuyer pour exiger un vote dans leur intérêt