Un début d’incendie a aussi été signalé
Que se passe-t-il à Bordeaux où ces actes sont de plus en plus courants? Selon un communiqué publié par le diocèse lundi, les murs de la façade et la porte d’entrée ont été tagués, tandis qu’un feu de détritus a été allumé au pied des marches du parvis. Les pompiers sont toutefois intervenus rapidement pour éteindre le début d’incendie qui n’a pas atteint l’édifice. Sur les murs de l’église, les graffitis sont parfaitement lisibles. Si les forces de l’ordre recherche un ou plusieurs auteurs, on peut lire des slogans comme «Diable, emmène-moi avec toi» ou «Brûle tout gratos» accompagné de sigles anarchistes. Dans le même communiqué, on apprend que la paroisse a aussi porté plainte contre X pour dégradation de bien.
Le préfet Étienne Guyot a, de son côté, annoncé l’ouverture d’une enquête, qualifiant les inscriptions de «tags haineux» et d’«actes de vandalisme». Il dénonce sur Twitter des actes intolérables. Une enquête a immédiatement été ouverte pour que les auteurs des faits puissent être identifiés et traduits devant une cour de justice.
L’émotion de toute une ville
Ce ne sont pas seulement les fidèles de cette église ou les catholiques qui ont été touchés par ces actes de vandalisme mais bien toute la ville de Bordeaux. Ainsi, le diocèse a voulu partager «l’émotion des fidèles catholiques et des habitants choqués par cet acte». Il faut rappeler que les actes de vandalismes à l’encontre des lieux de culte chrétiens se multiplient ces dernières années. C’est ainsi qu’à Paris, en janvier, un homme a été placé en garde à vue après plusieurs tentatives d’incendie dans des églises de la capitale.
L.F.I
Là , ça se saurait !!!!!!!! Et plutôt deux fois qu’une !
Faut pas se demander qui fait ça????? Le voilà votre « socialisme », les français, dans la série « pastigmatiser » nous sommes les rois decs!