La justice pense que le but était de neutraliser politiquement ce centriste qui occupe désormais un poste dans l’enseignement catholique dans le Tarn. Toutefois, après de nouvelles révélations mercredi dernier au sujet d’une autre vidéo, la police judiciaire de Lyon tentent de savoir, depuis le début de ses investigations en août 2022, s’il y a bien eu un détournement de fonds publics afin de rémunérer l’auteur de la vidéo à caractère sexuel qui aurait embarrassé et permis de faire chanter Gilles Artigues, victime dans cette affaire.
De nouvelles révélations de Mediapart
Cette affaire tourne autour de Gilles Rossary-Lenglet qui a avoué être l’auteur de la vidéo et qui en a négocié directement son prix avec les principaux intéressés. Celui-ci affirme que ces 40.000 euros auraient transité par deux associations. C’est aussi le même homme qui, pressentant qu’il a allait être doublé par Gaël Perdiau et son entourage, a décidé de révéler toute l’affaire aux journalistes de Mediapart. Toutefois, le maire LR de Saint-Étienne explique qu’il n’est pas au courant, son ex-directeur de cabinet Pierre Gauttieri et son ancien adjoint Samy Kefi Jérôme nient les faits en bloc. Toutefois, les policiers chargés de l’enquête estiment que de nombreux éléments accréditent la version de Gilles Rossary-Lenglet.
Au-delà du chantage et de la non divulgation des faits à la police par les élus concernés, c’est tout un système de rémunération créer pour payer le maître-chanteur à travers des subventions attribuées à des associations qui posent question. Ainsi, le «mode opératoire» aurait permis de faire transiter de l’argent public venant des caisses de la mairie pour rémunérer l’organisation du chantage présumé et, en premier lieu, le tournage de la sextape. Les deux associations «méconnues des fonctionnaires de la ville comme de la plupart des élus auditionnés», à savoir France-Lettonie Loire Auvergne et l’association culturelle AGAP (Artistes de la galerie art pluriel) ont reçu chacune 20 000 euros.
L’auteur des faits se livre à la justice
Les traces bancaires laissent penser que Gilles Rossary-Lenglet dit vrai. L’argent perçu par les associations lui ait quasiment intégralement reversé en contrepartie de contrats avec la ville pour ces dernières. Selon Mediapart, Gilles Rossary-Lenglet, ex-conjoint de Samy Kéfi-Jérôme, a expliqué aux enquêteurs qu’il a eu «une avance pour organiser le barbouzage». Il ajoutera qu’«en garde à vue, les dirigeants de France-Lettonie ont expliqué que le dossier de subvention avait été géré de A à Z par Gilles Rossary-Lenglet en personne, alors qu’il n’est pas membre de la structure».
Sexe tape? Il est tellement limité ce journaleux qu’il ne trouve pas un mot en français et qu’il doive se contenter de faire le perroquet des anglais??? Ha ils sont beaux les français, on est vraiment dans un petit petit pays de moutons!
Voila ou est en ai aujourd’hui la France deux poids deux mesures une justice pour les dirigeants de notre pays qui peuvent absolument tout faire sans craindre de quoi ce quoi et l autre qui vole une tablette de chocolat ou qui fait un excès de vitesse sans qu il sois poursuivi par la justice a le dépouillé de ses biens.
Le temps des rois ne s’est jamais arrêté il ne manque plus que le baise mains.
égalité pour tous vive la France!!
Vu comment tu écrits français, tu n’es pas d’ici, et si tu n’es pas content de ce que ce pays t’offre tu peux aussi repartir, c’est sûrement mieux d’où tu viens!
Et connard, c’est français ? Parce que tu en es un beau !