L’impression qu’il n’y a plus de limite à la violence
Comment justifier l’injustifiable? En reportant ses erreurs sur les autres! Dès mardi, à l’Assemblée nationale, les députés LFI/Nupes s’en sont violemment pris au ministre de l’Intérieur après les images désastreuses des violences qui ont émaillé les manifestations du 1er mai surtout à Paris. Comme l’avait prédit une note Service central du renseignement territorial (SCRT), il y a bien eu environ 2000 individus ultra-radicalisés venus pour casser et s’en prendre aux forces de l’ordre avec une très grande violence. Si le député LFI Antoine Léaument a dit apporter son «soutien à tous les blessés», Darmanin lui répondra: «Je regrette sincèrement, monsieur le député, que pour la première question au gouvernement, après des violences absolument inacceptables qui ont blessé 405 policiers et gendarmes hier, […] vous n’ayez pas un mot pour eux».
Le ministre de l’Intérieur ajoutera, s’adressant à l’ensemble du groupe d’extrême gauche: «Vous êtes les complices manifestement de ces violences, quand ici, devant les représentants du peuple, vous ne condamnez pas les gens qui, à coups de cocktails Molotov, abattent notre démocratie». Sur BFMTV, le préfet de Paris, Laurent Nunez, expliquera, quant à lui, qu’«on a passé un cap dans la violence» lors de ce 1er mai.
Jean-Luc Mélenchon au banc des accusés
Élisabeth Borne attend que tous «les responsables publics» condamnent cette violence «avec la plus grande fermeté». Dès mardi matin, Darmanin avait déjà cité Mélenchon sur ce sujet. En effet, pour le ministre, le leader de LFI se rend «complice» de ces violences quand il ne les dénonce pas. Ces propos, durant le 1er mai, laissait penser qu’il encourageait ces actions violentes.
on trouvera toujours des irresponsables pour soutenir les auteurs de violence faites aux forces de sécurité et de police. Les grands responsables de cet état de fait sont les gouvernants, qui ne donne pas les moyens à nos policiers de se défendre et à incarcérer dans les casernes désaffectées les auteurs de ces incivilités. Dans mon enfance, je suis âgé de 80 ans, le Gendarme, le Policier étaient des hommes respectés et craints, sachant que si l’on ne respecter pas la loi, il fallait s’attendre à une sanction. En supprimant, dans les années 80, le tribunal de simple police, les prisons communales et la loi anticasseurs, nos dirigeants de cette époque là, n’ont fait qu’encourager la délinquance et le désordre. Aujourd’hui nous en payons le prix.
Extrème gauche et je dirais gauche tout court!!! Et il y a des décérébrés de français qui ont voté pour mélanchard?? Pauvres niais, et vous êtes supris??!!!
comme à Sainte Soline on nous présente encore les forces de l’ordre comme des victimes, tout le monde sait désormais qui induit celà! je ne cautionne pas la violence mais ce que je lis de cette image c’est: « Darmanin violeur »… Au fait le régime des retraites des policiers a-t-il lui été mis à mal par Mr le Président? On ne nous dit pas tout!
commentaire d’imbécile, de bon petit petit socialope! Les casseurs ne sont PAS les forces de l’ordre! C’est tout le contraire!!