On aurait pu penser, qu’après les polémiques très vives suscitées par ces rapatriements où le dernier a eu lieu le 4 juillet, l’exécutif aurait fait le choix de cesser cette politique du retour. Pourtant, c’est simplement parce que les femmes djihadistes refusent de rentrer en France malgré les dispositifs mis en place pour elles et leurs enfants que Paris a annoncé l’arrêt de ces opérations très controversées.
En réalité, le gouvernement a été mis devant le fait accompli
Mardi 4 juillet avait lieu ce qui devenait la dernière opération de rapatriement de femmes djihadistes et de leurs enfants. Ce n’était pas prévu mais la décision des familles de nationalité française de rester en Syrie a permis au gouvernement d’annoncer la fin des opérations de rapatriements de Damas vers Paris. Cette même source au sein du Quai d’Orsay a annoncé au Monde et au Point que «l’ensemble des mères qui souhaitaient quitter la Syrie ayant été rapatriées, il n’y aura plus d’opération de ce type».
On apprendra dans ces articles que le ministère des Affaires étrangères explique ne pas avoir la possibilité de «rapatrier de force des personnes résidant à l’étranger, ni bien sûr leurs enfants». Depuis 2019, ce sont 169 enfants et 57 femmes adultes qui ont été ramenés sur le territoire français. Cette source ajoute que «certaines mères très radicalisées ont explicitement affirmé vouloir demeurer en Syrie». Toutefois, on ne sait pas exactement combien de personnes concernées sont concernées par cette décision. Actuellement, les femmes ont été placées en détention ou en garde à vue, alors que les mineurs sont pris en charge par les services de l’aide sociale à l’enfance.
Le gouvernement aurait poursuivi sa politique de rapatriement
Si ces familles n’avaient pas explicitement indiqué à la France vouloir rester sur le sol syrien, Paris aurait continuer sa politique du retour alors que la quasi totalité de ces opérations, jusqu’à présent, ont montré l’extrême dangerosité de ces personnes. Lors du dernier voyage vers la capitale, une mineure de 17 ans a été placée en détention car ultra radicalisée et considérée comme très dangereuse. Si le gouvernement s’était donné jusqu’à l’été 2022 pour rapatrier les enfants dont les mères avaient accepté de renoncer à leurs droits parentaux, il ne peut forcer ces familles à envoyer les mineurs en France.
Néanmoins, le collectif Familles unies, qui soutient les femmes détenues en Syrie, a demandé au gouvernement de prendre «dès à présent toutes les mesures nécessaires pour rapatrier l’intégralité des enfants français détenus en Syrie, ainsi que leurs mères». Selon Maris Dosé, l’avocate du collectif, «il reste dans ces camps une centaine d’enfants qui ne connaissent que la fange, les barbelés et la violence».
si les femmes veulent rester en Syrie ( tant mieux)
il faut les déchoir de la nationalité française
et qu’on les oublie une fois pour toute
Si ces femmes avec leurs enfants sont parties de plein gré pour aller en Syrie, qu’elles y restent même s’ils se sont aperçus que cela était une erreur. Pas de mesures spécifiques non plus pour des enfants mineurs qui seraient être renvoyés chez nous, devant être placés dans des établissements spécialisés, aux frais des citoyens et ce, d’autant plus que certains sont même des éléments dangereux.
Vivement une bonne loi sur l’immigration, mûrement pensée, mais assez ferme pour lutter contre l’illégale, fini le regroupement familial : l’immigré même légal venu en France pour travailler en ayant eu une promesse d’embauche, n’avait qu’à venir avec sa famille pour s’intégrer pleinement dans notre société et notre culture.
Une autorité étatique correctement rétablie et rénovée (sans pour autant établir une dictature), pour sauvegarder notre patrimoine et ses merveilleux acquis.
encore une fois une minorité veut imposer son dictat à la majorité. il n y aurait ja mais du avoir de rapatriements de bombes ambulantes- elles ont fait un choix, elles doivent l’assumer. sans que la majorité en paie les conséquences.
Elles ont choisi leur vie qu’elles assument et surtout qu’elles restent en Syrie avec leurs rejetons. Tous ces gens nous reviennent beaucoup trop cher et nous payons…
Parfait, que ces fausses françaises restent là où elles sont, leurs enfants sont trop islamisés pour venir chez nous. La récente démonstration des casseurs est suffisante pour voir à qui nous avons à faire!
Pipo, car les gauchistes sont là pour aider toutes ses familles bienveillantes envers la France….!