La garde à vue de cette jeune femme de 21 ans a été levée, car elle se trouvait dans un état de détresse psychologique important, après qu’elle ait été arrêtée pour avoir tué et démembré son nouveau-né, dans la nuit de dimanche 23 juillet à lundi 24 juillet.
Une grande fatigue psychique
« Elle a été hospitalisée sous contrainte », d’après le parquet de Bobigny. La garde à vue de cette femme de 21 ans, accusée d’avoir tué son bébé a été levée lundi 24 juillet. Elle avait été arrêtée dans la nuit de dimanche 23 juillet à lundi 24 juillet, à Stains, après que le corps de son nouveau-né ait été retrouvé. Ce dernier était mutilé, comme le rapporte Le Parisien.
Au moment de son arrestation, elle se trouvait dans une grande fatigue psychique, un état confirmé par les médecins de l’unité mobile de psychiatrie (UMPL). Ce sont ces derniers qui ont recommandé de la placer en psychiatrie. Elle était dans un état dépressif, qui s’est aggravé, ce qui l’aurait poussé à commettre cet horrible crime, « de pure folie », pour citer le quotidien.
Un déni de grossesse ?
C’est aux alentours de 20h50, dimanche 23 juillet, qu’elle prévient ses amis en leur racontant son acte : elle a tué son bébé, avant de le démembrer. La police a retrouvé l’enfant dans un sac à dos. En revanche, la date de la mort n’a pas encore été déterminée et on ne sait pas non plus si le bébé est né viable. Il est aussi possible que cette dernière ait fait un déni de grossesse. « Les déclarations de la mère laissent penser que l’accouchement aurait eu lieu le 17 juillet », d’après une source proche de l’enquête.
Un voisin raconte avoir vu la jeune femme il y a deux mois, mais qu’il n’avait pas remarqué qu’elle était enceinte. « Au-delà de l’aspect horrible de ce geste, cela nous montre une désespérance humaine », regrette de son côté le maire de Stains, Azzédine Taïbi. Elle n’est pas non plus répertoriée par les services sociaux, qui auraient sans doute pu l’aider. L’enquête se poursuit, pour savoir si elle a pu avoir des complices.
Un film d’horreur ! Quand on ne veut pas de son petit bébé, on le confie à des personnes qui l’aimeront, on ne dispose pas de sa vie ….. Dépressive ou pas, c’est une belle ordure !
trop facile de juger sans savoir !!!
Vous parlez sans savoir , sans connaitre , sans vous mettre à la place de cette pauvre personne , qui n’avait peut etre pas toute sa tete , ni toute sa capacité de reflexion , ni votre immense logique , etc , etc ……
donc stop , vous arretez ce genre de remarque , c’est tout autant malsain que ce qui s’est produit .
Merci
Ce qu’a malheureusement fait cette femme qui se trouvait dans une grande fatigue psychique, c’est ce que font chaque jour les personnes qui pratiquent des avortements. Comme le disait le professeur Israël Nisan lui-même, lors d’une IVG tardive « le fœtus est ossifié et difficile à extraire. Quand on le fait chirurgicalement, il faut sortir le fœtus par morceaux. Quand on le fait par voie médicale, c’est un enfant qui est visible. »