C’est le cas de nombreuses associations islamistes, et non islamiques, qui profitent de l’argent public pour fonctionner et saisir les tribunaux contre les institutions républicaines. Alors qu’aujourd’hui, devant les actes terroristes et les mouvements qui défendent les attaques du Hamas contre Israël qui financent leurs actions devant les tribunaux français grâce aux subventions publiques, Éric Ciotti, président des Républicains, veut durcir le ton. Il va ainsi défendre un amendement afin que ces organes «qui se retournent contre l’État» ne soit plus financer par celui-ci.
Ciotti souhaite diviser par deux le montant des subventions accordées à ces associations
Si beaucoup de ses collègues à l’Assemblée voudraient purement et simplement empêcher l’intégralité de ces subventions d’arriver jusqu’à ces mouvements, le député des Alpes-Maritimes va mesurer sa proposition. Par conséquent, il «a défendu un amendement» dans le cadre des débats à l’Assemblée sur le projet de loi de finances mercredi 25 octobre, visant à diviser par deux le milliard d’euros de subventions accordées associations qui œuvrent dans le domaine de «l’immigration, de l’asile et de l’intégration». Sur France Inter, mercredi, il explique ne pas vouloir aider ces groupes qui, d’après lui, «attaquent l’État».
Il justifiera sa démarche en assénant qu’il «trouve qu’on est dans un système qui marche sur la tête». Un système «incohérent et totalement schizophrène» car «l’État finance des associations qui se retournent contre l’État». Le président des LR s’explique: la France «a des difficultés à éloigner des personnes qui n’ont plus leur place sur notre territoire, y compris des délinquants, parce qu’il y a des procédures abusives qui sont conduites parfois pendant plusieurs années. Et ces procédures, elles sont nourries par ces associations qui sont financées par l’État». Il rappellera, par exemple, que «la Cimade a fait en sorte que l’assassin de Dominique Bernard soit toujours en France en s’opposant à son expulsion».
Ciotti revient sur le projet de loi immigration préparé «sans concertation»
Prenant à contre-pied les dernières annonces de la Première ministre sur le texte, il précise que «contrairement à ce qui a été dit dans la presse – et j’ai échangé avec Bruno Retailleau – la Première ministre n’a en aucun cas dit qu’elle retirerait l’article 3». Celui-ci prévoit de créer une carte de séjour pour les métiers en tension. Il ajoutera qu’«on ne peut pas, dans un même texte, dire qu’on va être plus ferme d’un côté, et lancer un appel d’air à l’immigration illégale de l’autre côté». Ciotti conclura en avertissant que son parti déposera «une motion de censure» si le gouvernement déclenche l’article 49.3 de la Constitution, en conservant cet article 3.
C’est bien, c’est bien, l’air de rien, on progresse. Nos politiques de droite se rendent compte, peu à peu de tout ce qui fait mal au pays. Avant complices sans s’en rendre compte, ils ouvrent aujourd’hui les yeux. Et tout ce qui oeuvre en sous main pour la gauche et sa politique anti-française, est aujourd’hui dénoncé. Il faut continuer