Déjà condamné à 20 ans de prison pour le meurtre de la petite Maëlys, 8 ans, en 2017 et pour les viols de deux petites cousines de 4 ans et 6 ans, Nordahl Lelandais sera de nouveau jugé pour agression sexuelle, sur une autre cousine de 14 ans.
Elle aurait été sa première victime d’agression sexuelle
Nordahl Lelandais, tristement connu pour l’enlèvement et le meurtre de la petite Maëlys, 8 ans, dans la nuit du 26 au 27 août 2017, vient de nouveau d’être renvoyé devant un tribunal pour des agressions sexuelles sur une petite cousine de 14 ans, d’après RTL, mardi 31 octobre. Cet ancien militaire avait déjà été condamné à 20 ans de réclusion criminelle pour le meurtre de Maëlys et pour les agressions sexuelles sur deux petites cousines de 4 ans et 6 ans. La cousine de 14 ans, pour laquelle il sera de nouveau jugé, aurait été sa première victime, le 16 mars 2017.
Il sera jugé pour « agression sexuelle sur mineur de 15 ans » et « menace de mort », par le tribunal de Charleville-Mézières, dans les Ardennes. « Il m’a prise dans ses bras. Ses mains sont descendues dans mon dos puis sur mes fesses. J’ai tenté de le repousser, mais il a continué. Il m’a touché la poitrine. Je l’ai encore repoussé. Il m’a alors prévenu : « Si tu dis quelque chose, je te tue ». Il avait un regard noir qui faisait peur. Ce n’était pas le visage du cousin que je connaissais« , raconte-t-elle.
Il nie en bloc, comme toujours
La jeune fille garde le silence, par peur. Mais au moment où elle apprend que les deux autres cousines, de 4 ans et 6 ans ont, elles aussi, été victimes, elle se confie à sa mère, qui porte plainte. Nordahl Lelandais est mis en examen le 27 février 2020 et durant les quatre ans d’instruction, il nie les faits. Les expertises psychologiques avaient prouvé que la jeune femme, aujourd’hui âgée de 21 ans, disait la vérité.
« Nordahl Lelandais, quand il n’y a pas de preuve qu’on lui met sous les yeux, il nie jusqu’au bout« , s’agace Caroline Rémond, l’avocate de la victime. « Il n’a pas changé, il nie toujours les faits en attendant des preuves matérielles. (…) Cette affaire souligne encore son attirance pour les petites filles. (…) Concernant Maëlys, les zones d’ombre resteront toujours, et peut-être jusqu’à sa mort », regrette de son côté le père de la petite Maëlys, Joachim de Araujo.
Ce débris qui est déjà condamné pour le restant de ces jours va encore être jugé , après on nous dit qu’il n’y a pas de place dans les prisons , et qu’il manque des juges , ce déchet aurait du être enterré et aurait fait faire des économies à la justice et aux contribuables !!
4 ans d’instruction???? Excusez de ne pas comprendre!
En tout cas, les taulards n’aimant pas les violeurs de petites filles, j’espère qu’il a le trouduc bien limé, bien rouge!