Cet homme de 34 ans est jugé, depuis lundi 6 novembre, pour «viols avec actes de torture ou de barbarie sur ses partenaires et des animaux» et de «détention de près de 150.000 fichiers ou vidéos pédopornographiques». Pourtant, si son premier crime connu par la justice remonte à 2016, les victimes et associations de victimes se demandent comment il peut être libérer aussi vite après chaque condamnation.
Il violait ses victimes avec des chiens et les forçait à le regarder torturer des animaux
Lors du début des débats, nous apprenons que sa première condamnation remonte à 2016. L’accusé, dont l’identité n’a pas été communiqué à la presse, aurait obligé un jeune homme, rencontré sur un site internet, à subir des relations sexuelles avec un chien par deux fois ainsi qu’à le regarder «torturer des rats». L’avocat de la victime a expliqué au journal 20 minutes que son client est complètement traumatisé suite à ces viols et qu’il suit depuis une thérapie. Sa seconde victime est une femme âgée de 23 ans aujourd’hui. Il l’avait aussi rencontrée en ligne alors que celle-ci était encore mineure. Là aussi, il va la forcer à le regarder faire subir les pires sévices sur des animaux. Comme pour sa première victime, le trentenaire l’aurait contrainte à subir des actes sexuels avec un chien. L’avocat de la jeune femme indique que, malgré les années, elle est toujours «détruite». La troisième victime n’est autre que son compagnon actuel. Ce dernier affirme avoir été violé par cet homme.
L’accusé dit «ressentir des pulsions sexuelles envers les animaux» depuis l’enfance
Des experts psychiatriques expliquent à 20 Minutes que le trentenaire affiche «une dangerosité majeure criminologique». Il souffrirait d’un trouble grave de la personnalité et aurait expliqué «ressentir des pulsions sexuelles envers les animaux» depuis son enfance. Pourtant, il avait déjà été condamné en 2015 pour avoir commis des sévices sur un animal domestique. L’accusé avait déjà été interné à plusieurs reprises en psychiatrie et aurait même demandé à être de nouveau pris en charge en 2019, sans succès. Devant les enquêteurs, avant l’ouverture de son procès, il avait reconnu l’intégralité des faits qui lui sont reprochés.
Mais quelle horreur !
Et pourquoi en est-on arrivé là ? Tout simplement parce que les sévices commis sur les animaux ne sont encore pas reconnus par la justice comme des actes criminels. C’est à se demander si les juges ne se disent pas que laisser commettre de tels actes envers des animaux évite que les auteurs de ces mêmes actes ne passent à l’action envers les humains.
C’est une honte car cette pratique ne résout pas le problème puisque les monstres qui se livrent à ces crimes ne s’arrêtent pas aux animaux.
Quand la justice française prononcera t’elle des peines à la mesure de ces crimes, qu’ils soient intentés sur les animaux ou les humains, assorties de mesures de sécurité afin que leurs auteurs ne puissent jamais recommencer ? C’est la seule solution puisque la peine de mort n’existe plus.
Lamentable Justice de la France, c’est une honte pour un pays « dit moderne ».
Je n’ai qu’un mot à dire LAMENTABLE et la justice est complice en ayant pas gardé ce déchet en prison à vie.
Ce monstre va t’il bénéficier du fameux non lieu psychiatrique ?
Que la justice essaye de faire son travail …pour une fois…