Néanmoins, Hidalgo certifie avoir payé son billet retour puisque, selon ses dires, son déplacement s’est terminé par des vacances chez sa fille, installée sur l’île de Raiatea, toute proche de Bora Bora. Un communiqué où l’édile va détailler le programme des rendez-vous en Nouvelle-Calédonie puis en Polynésie, pour ensuite parler de la Nuit Blanche 2024 qui sera sous le signe des outremers, mais aussi de l’urgence climatique ou des épreuves de surf des Jeux Olympiques. Que ce soit l’opposition ou sa propre majorité, tous s’accordent à dire qu’elle s’est enfoncée plus qu’autre chose.
Pour Rachida Dati, il ne s’agit que de «vacances déguisées»
Il faut reconnaître que le déroulé de ce voyage de trois semaines fait par les membres de sa délégation laisse penser, en effet, qu’il s’agissait plus d’un voyage privé pour Hidalgo qu’autre chose. De plus, ce communiqué, très long et assez alambiqué, n’a fait qu’accroître la polémique. L’opposition exige des explications. Une élue LR dira qu’«ils font presque 100 pages de justification de pourquoi il était indispensable qu’elle soit là-bas». Un de ses collègues ajoutera que «c’est l’odyssée des pieds nickelés enrobée de greenwashing». Ce dernier évoque aussi «une faute morale» de la maire de Paris qui aurait dû «être à Paris face à la recrudescence des actes antisémites». Pour les proches de Dati, il s’agit d’un «voyage JO alibi».
Une majorité municipale dans l’embarras
Cela fait une semaine que ce voyage soulève beaucoup de questions. À partir du moment où l’opposition a su que Hidalgo ne s’était pas rendu sur le site olympique mais directement chez sa fille, la polémique n’a fait que grandir. «C’est chaud», soufflera un conseiller de Paris, qui décrit la majorité municipale «sur la défensive». La gauche tente, une fois de plus, de faire front commun derrière la maire de Paris tout en reconnaissant «la mauvaise com». Toutefois, les écologistes avouent ne pas trouver ce voyage très malin. Seul point positif relevé par sa majorité: la décision d’Anne Hidalgo de saisir la commission de déontologie, composée de magistrats, pour qu’elle rende un avis sur ce déplacement.
« «une faute morale» de la maire de Paris ».
Ha Ha HA, depuis quand les élus de tous bords, sans aucune morale, s’évertuent à ne pas commettre des fautes morales ? Arrêtez d’enfumer le peuple.
Ha mais, c’est pas une « socialiste »!! Je reconnais l’odeur: Socialiste-de-largent-des-autres bien évidemment!! Comme les bon ministres cahuzac, thévenou, dsk, la royal, sapin,…tous « socialistes »! et les syndicacats bien accrochés à leur fauteuil qui s’octroient des notes de frais jusqu’à 80000€ l’an,qui vont faire un séminaire « socialiste » à Rio de Janeiro…en plein carnaval!! Et mon c…mon oeil, c’est du poulet???? Tas d’hypocrites pourris!
les bons avec un »s »!
Merci à la personne qui a censuré mon commentaire : de deux choses l’une, soit c’est une très proche d’Hidalgo, soit elle ne comprend pas bien le français !!!
Si on ne peut plus commenter un fait divers dans un langage poli et châtié, c’est à désespérer de tout !!! la censure est autour de nous, ouvrez l’oeil les amis !!!
Ce sont tous les mêmes et nous on paie ! . . . De plus en plus.
Hidalgo vient de sauver les JO de surf, on revient de loin !!! mais une autre question me turlupine : pour les candidats de cette discipline et leur matériel à transporter si loin, ça se passe comment et qui donc paie la note ??? elle doit être un peu salée, la petite facture…