Toutefois, l’ONG a conscience que ce sont des accusations très graves et c’est pourquoi elle a documenté le plus possible son enquête. Ainsi, nous apprenons que des photojournalistes pigistes travaillant pour des médias anglo-saxons, dont des agences de presse américaines et britanniques, auraient été au courant des attaques du Hamas et n’aurait pas agi en conséquence. Pire encore, ils auraient filmé l’entrée des terroristes sur le sol israélien et les massacres qui ont suivi.
Peu de réaction des médias cités dans le rapport
Dans son enquête, HonestReporting explique que «le 7 octobre, les terroristes du Hamas n’étaient pas les seuls à documenter les crimes de guerre qu’ils avaient commis lors de leurs ravages meurtriers dans le sud d’Israël. Certaines de leurs atrocités ont été filmées par des photojournalistes basés à Gaza et travaillant pour les agences Associated Press (AP) et Reuters, dont la présence tôt le matin dans la zone frontalière violée soulève de sérieuses questions éthiques». Quatre d’entre eux auraient particulièrement aidé le Hamas à documenter les massacres: Hassan Eslaiah, Yousef Masoud, Ali Mahmud et Hatem Ali.
La première question qui a interpellé l’ONG, mais aussi de nombreuses rédactions à travers le monde, est dans le préambule du rapport. HonestReporting se demande «que faisaient-ils là si tôt dans ce qui aurait normalement été un samedi matin tranquille ? Était-ce coordonné avec le Hamas ?». L’ONG ajoute: «Les agences de presse respectables qui ont publié leurs photos ont-elles approuvé leur présence en territoire ennemi, aux côtés des terroristes infiltrés ?». Hassan Eslaiah, qui travaillent régulièrement avec CNN, est particulièrement visé par l’enquête. On le voit devant un char israélien en feu. Il aurait ensuite photographié l’entrée des terroristes du Hamas dans l’enceinte du kibboutz Kfar Aza.
Dans l’attente d’une confirmation officielle
L’enquête de l’ONG peut être lourde de conséquences. En effet, si les faits sont bien confirmés, les journalistes impliqués pourront être accusés de «complicité avec des crimes terroristes» et de «crime de guerre». Il est rappelé aussi que Masoud, qui travaillent aussi pour le New York Times, était présent à l’exact moment de l’incursion du Hamas. Ali Mahmud et Hatem Ali ont pris les photographies des atrocités commises par les terroristes dans les deux kibboutz.
Je pense que vous êtes loin de la vérité cher Mr. La présence de journalistes au service des medias occidentaux présents tres tôt aux moments des attentats ne ressemblerait il pas à un préparation bien ficelée ? Il faut toujours se poser la question : a qui profite cette situation? N’oubliez pas que le Hamas filiale des frères musulmans a été mis en place à Gaza avec l’aval d’ Israël et soutenu par lui et les occidentaux. Alors cela fait beaucoup. Comme toujours c’est le peuple qui en porte les conséquences dans ce cas Palestiniens comme les habitants d’Israël. Un massacre pour des intérêts privés et fanatiques
Faut pas s’étonner des journalistes islamistes sa existe, et chez nous les journalistes islamo-gauchistes ont pignon sur rue.