Élisabeth Borne ©Alamy
La Première ministre a débuté son discours en assénant que «le plus souvent, les violences ont lieu dans le cadre familial. Chaque semaine, un enfant meurt sous les coups de ses parents. Les trois quarts des violences sexuelles sur les enfants se passent au sein de la famille». Il s’agit ici du troisième Comité interministériel à l’enfance. De nouvelles dispositions sont venues compléter les moyens déjà existants.
Des moyens renforcés
Le plan annoncé par la cheffe du gouvernement a pour but de revoir l’objectif du nombre d’enquêteurs de l’Ofmin, l’Office central pour les mineurs chargé de coordonner l’activité opérationnelle des services de police et de gendarmerie, qui en compte actuellement 35, et les moyens alloués à la prévention de ces violences, comme les plateformes des numéros d’appel et d’écoute. Matignon devrait par ailleurs créer dix postes de délégués départementaux «dédiés au pilotage de la protection de l’enfance». Selon le gouvernement, ils seront recrutés à titre expérimental pour être les interlocuteurs des conseils départementaux.
Les enfants protégés et vulnérables
Ce nouveau plan comprend 22 mesures et vise donc à mieux entendre les victimes. Dès le 10 novembre, Élisabeth Borne avait appelé à une «mobilisation générale pour l’enfance protégée». En France, ce sont près de 370.000 enfants qui font l’objet d’une mesure de protection au titre de l’aide sociale à l’enfance. Ces services sont, depuis les grandes lois de décentralisation de 1982 et 1983, passés sous l’autorité et la responsabilité du président du conseil départemental. De plus, la Première ministre a annoncé un nouveau «pack autonomie jeune majeur» pour les jeunes sortant de l’ASE à 18 ans. Il comprendra notamment un «coup de pouce financier» automatique de 1 500 euros versé à la majorité.
Madame Borne les violences faites aux Français ne vous intéressent pas Madame parce qu’actuellement les élus ne sont pas concernés, à part quelques maires. La solution serait des démissions en bloc de ces élus les plus proches de la population. Ou encore des violences dans les rangs de votre parti et gouvernement, là c’est sur que vous aller vous pencher sur ce problème.
Et à quand un texte contre les violences des étrangers noirs et muzes faites aux français??? Haaa…bien sûr, c’est moins populaire, moins glorifiant!!!