Une femme de 40 ans est arrivée aux urgences de l’hôpital Santiago Apóstol, à Miranda de Ebro, entre Vitoria et Burgos, en Espagne, lundi 27 novembre, avec des chaînes allant de son cou à ses mains. Elle s’est enfuie du joug d’un kidnappeur qui la retenait de force.
Il la supplie de rentrer chez lui
Une scène digne des pires films d’horreurs. Lundi 27 novembre, le personnel de l’hôpital Santiago Apóstol, à Miranda de Ebro, entre Vitoria et Burgos, en Espagne, a vu arriver une femme de 40 ans, enchaînée du cou aux mains, retenus par deux cadenas, comme une esclave. Elle leur raconte qu’elle s’est échappée et qu’elle était la prisonnière d’un homme. La femme a des bleus sur tout le corps et de blessures. L’agresseur est arrêté dans la foulée, après l’arrivée de la femme aux urgences et grâce à ses indications.
Aux autorités, elle explique que le jour de son enlèvement, elle sortait de l’hôpital, après avoir accompagné un proche. L’homme lui aurait proposé de la ramener chez elle. Elle commence à discuter avec lui et il la met en confiance. Jusqu’au moment où il s’arrête près de sa maison personnelle, la suppliant d’entrer. Une fois dedans, il la frappe et elle perd connaissance
Connu pour agression sur mineur
Quand elle reprend conscience, elle constate qu’elle a une chaîne au cou, sur laquelle l’homme tire, pour l’étouffer en l’insultant. Elle affirme qu’elle a profité d’une des erreurs de l’homme pour s’enfuir. Elle dit aussi qu’elle le connaissait de vue. L’arrestation a été confirmée à la presse locale par la police. On ne connaît pas le nom du ravisseur, mais on sait qu’il est âgé de 57 ans.
On sait également qu’il est connu des services de justice, pour avoir violé une fillette de neuf ans à Burgalesa en décembre 2015. L’enquête a été confiée à l’unité « violence familiale et domestique » de la police nationale. Elle est considérée comme un incident de violences sexuelles aggravées. Fait étonnant, malgré la gravité des faits, l’homme a été libéré dans l’attente de son jugement, sur ordre du tribunal.
« connu des services de justice, pour avoir violé une fillette de neuf ans à Burgalesa en décembre 2015 ».
Viol sur une fillette en 2015, et il est dehors depuis quand ?
Enlèvement et séquestration, mise sous chaîne comme une esclave et remis en liberté par un juge qui adore le travail de ses collègues Français.
Tout est dit.
Je vois qu’en Espagne la justice est aussi nulle qu’en France !
Non, elle n’est pas nulle : elle suit les limites qu’elle s’est elle-même imposée…
Vous préfèreriez que n’importe quel abruti vous décapite et ne soit pas condamné parce qu’il a « une raison » directement dictée par Dieu (ou D-ieu) lui même?