« Je ramène des copains à la sortie, je te tue » : ce sont les mots qu’aurait lancé un élève, à l’encontre de l’un de ses professeurs, au collège Kléber, à Strasbourg. Pour le soutenir, 37 des 38 enseignants de l’établissement, étaient en grève, jeudi 30 novembre.
Une plainte déposée
Devant le collège Kléber, à Strasbourg, une trentaine d’enseignants étaient en grève, jeudi 30 novembre, afin de protester contre les menaces de mort reçues par un de leur collègue, de la part d’un élève. L’homme a déposé plainte, comme le rapporte l’AFP.
« Un de nos collègues a été menacé de mort mardi midi par un élève de troisième à qui il avait confisqué son téléphone portable. L’élève lui a dit : « Je ramène des copains à la sortie, je te tue« , détaille Gilles Comte, professeur d’histoire-géographie. « Je condamne avec la plus grande fermeté cette attaque verbale totalement inadmissible », affirme de son côté le recteur d’Académie. Il s’est d’ailleurs rendu sur place pour rencontrer les enseignants.
« On n’arrive plus à bien faire notre boulot »
37 grévistes sur 38 enseignants ont été décomptés. « C’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase, il y a plein d’incidents », revient encore le professeur Gilles Comte. D’après lui, « il n’y a pas de communication, pas de soutien de la direction, on a l’impression d’être abandonnés« . L’homme ciblé par les menaces de mort aurait été « très touché par l’incident et a porté plainte mardi après-midi ». Il est depuis en arrêt-maladie.
« On n’arrive plus à bien faire notre boulot. Les insultes qui reviennent très régulièrement, les retards systématiques d’élèves, le déclenchement d’alarmes incendie« , seraient devenus des jeux « à la mode depuis la rentrée », selon Charlotte Serisier, enseignante de français.
On est en macronie, le problème à été réglé depuis Samuel PATY, des dispositions strictes ont été mis en place pour ce genre de menaces où est notre porte parole du gouvernement véran, il nous a menti ?
Il paraît que l’on a besoin de main d’œuvre sur le territoire des Terres Australes Antarctiques Françaises, faut l’y envoyer, il aura l’occasion d’exhiber sa force au boulot là bas.
Convocation immédiate des parents et la loi devrait permettre de mettre en examen même mineur pour menace de mort.
Création et ouverture de centres de redressement pour gérer cette vermine qui nous pourrit la vie