L’enquête, qui prendra plusieurs mois, se base sur les témoignages de survivantes, de personnes présentes, mais surtout sur des analyses de vidéos ou des examens médico-légaux réalisés post-mortem car la plupart des victimes ont été assassinées immédiatement après avoir été violées le 7 octobre. Il n’y a donc quasiment plus de survivantes pour témoigner.
La plupart des victimes sont des adolescentes ou de très jeunes femmes
Des enfants de 7 ou 8 ans, comme des femmes plus âgées, ont été violés, torturés puis tués par le Hamas mais la majorité sont des jeunes filles qui participaient au festival Tribe of Nova. Parmi les témoignages, on peut lire, dans le quotidien Haaretz, celui du jeune fille présente au festival qui a assisté au viol collectif d’une femme. Celle-ci a ensuite été abattue d’une balle dans la tête par les hommes du groupe terroriste. Dans Le Parisien, nos confrères publient le portrait d’«Esther», une rescapée du 7 octobre, qui racontera avoir été violée et passée à tabac sous les yeux de son compagnon forcé à regarder la scène. Elle dira: «C’était si douloureux que j’ai perdu connaissance, ils ont arrêté lorsqu’ils m’ont crue morte». La jeune femme a ensuite été mutilée par un homme du Hamas. Il y a peu de chances qu’elle remarche un jour.
Le silence des organisations internationales et des associations féministes
De nombreuses voix s’élèvent pour critiquer le silence de l’ONU à ce sujet. «En restant silencieux, [l’ONU] ne se contente pas de nous décevoir, nous les femmes israéliennes, elle discrédite tout le système. Elle perd en crédibilité», a déclaré au quotidien Haaretz la professeure de droit international Ruth Halperin-Kaddari. Une de ses collègues ajoutera que «des femmes et des filles ont été assassinées, torturées, terrorisées et violées de la manière la plus inhumaine possible. Les preuves sont accablantes et indéniables. Et encore une fois, le même mécanisme de déni infligé aux victimes individuelles de viol est désormais infligé à nous tous (…) Au lieu de se voir proposer de l’aide, nous sommes tous soumis à un déni collectif international».
Une pétition, qui rassemble plus de 37.000 signatures à ce jour, demande que l’attaque du 7 octobre soit reconnue comme un «féminicide de masse». «De nombreux civils sont morts, mais les femmes n’ont pas été tuées de la même façon que les autres», rappelle le texte de l’association Paroles de femmes. Pourtant, les associations dites féministes, qui étaient restées profondément silencieuses quand les iraniennes manifestaient dans les rues pour leur liberté, ont refusé que le collectif du 7 octobre manifeste à leur côté samedi 25 novembre. Le collectif «Nous toutes», organisateur de la manifestation» a répondu à travers un communiqué que les manifestantes «ont défilé autour de la place avec des pancartes attaquant une partie des associations organisatrices de la manifestation». Sur ces pancartes, on pouvait lire «#MeToo sauf si vous êtes juive» ou «Féministes, votre silence vous rend complices».
En lisant les articles qui précèdent, on s’aperçoit que notre pays est vraiment bouffé par la vermine. Il est grand temps que ce pays se réveille et fasse un grand nettoyage.
Israël ne sera libre et enfin tranquille que lorsque le Hamas et le Hesbollah seront éradiqués. Les Etats-Unis s’occuperont de l’Iran (Là où les femmes sont bien traitées également) ensuite.
Israël colonisateur depuis 75 ans et assassin d’enfants de femmes et de personnes âgées.
Et ça veut se faire passer pour victime !!!!!!
C’est vraiment le monde a l’envers
Mais fermes donc ta GG ! Comment oses-tu la ramener après un tel article ignoble individu ?
Certes, tout acte de violence est à blâmer, mais il ne faut pas renverser la situation : ce n’est pas Israël la victime, puisqu’il est colonisateur, mais les Palestiniens qui depuis des années sont régulièrement chassés de leur terre et massacrés !! C’est la première fois que je vois un pays colonisateur se dire « victime » !!!
Idem que pour Lemmonier.