Cependant, il est intéressant de revenir sur l’interview de la secrétaire nationale d’Europe Écologie-Les Verts (EELV) donnée sur France Inter dimanche 3 décembre. Pourtant, les Écologistes sont ceux qui, politiquement, se rapprochent le plus de La France insoumise. Mais l’extrémisme politique dans lequel s’est plongé le groupe mélenchoniste va bien au-delà de ce que peut supporter Tondelier et le bureau politique des Verts.
Mélenchon ne veut jamais prendre «ses responsabilités»
Vendredi 1er décembre, Mélenchon, avec la diplomatie qu’on lui connaît, a dénoncé qu’il n’y avait plus de Nupes, parlant des «gamineries» et «d’enfantillages» des partis qui composaient l’alliance de la gauche. Pourtant, les trois autres formations qui composent la Nupes, le PS, le PCF et les Écologistes, sont partis pour des raisons différentes. Ici, c’est la chef de file des Verts qui a expliqué être «fatiguée» des excès de langage du leader des insoumis. Marine Tondelier a ainsi accusé le chef de l’extrême gauche de «s’isoler». Elle dira qu’«on ne sait pas bien où il va. Il s’isole, il se coupe de tout le monde». «À un moment, je suis fatiguée. On va demander un compte pénibilité aussi pour les partenaires de Jean-Luc Mélenchon», a poursuivi la députée des Hauts-de-France.
Mélenchon et ses proches ne se remettent jamais en question
Tondelier ne mâche pas ses mots, signe que Mélenchon ne fait plus peur comme avant. Elle dira que «ce qui commence à bien faire, c’est que c’est toujours de la faute des autres et jamais de la sienne», a-t-elle estimé. Et d’ajouter: «Je suis toujours la première à prendre mes responsabilités quand je n’ai pas bien fait un truc, mais lui jamais. […] À force de ne jamais prendre ses responsabilités, on n’accède jamais aux responsabilités». Elle rappellera que pour donner des leçons, il faut au moins pouvoir clamer quelques victoires. Or, elle soulignera les échecs de Mélenchon à la présidentielle et aux législatives. Dans les pas de ses alliés, le PS ayant voté un moratoire sur la participation de LFI à la Nupes et le PCF ayant appelé en octobre dernier à ouvrir «une nouvelle page du rassemblement de la gauche et des écologistes», Tondelier ne souhaite plus travailler avec LFI.
» Mélanchon passe pour cultivé, auprès des journalistes incultes » ( M. Onfray )
Mélanchon est un pourri, mais M. Tondellier ne vaut pas beaucoup plus que lui …
« il «s’isole» et «se coupe de tout le monde» ». Tant mieux, qu’il disparaisse à jamais !
Le pôôôvre… il ne lui reste plus que le soutien des racailles. Un électorat de chouffeur, de charbonneurs, de dealers, et le pire c’est qu’étant de plus en plus jeunes pour échapper à toute justice, ils n’ont pas l’âge de voter… Il y a sans doute quelques tueurs à gages, quelques anciens du F.I.S. qui ont l’espoir de le voir se convertir et de recommencer sa sixième République en se basant sur la charia ?
Mélenchon le blaireau , celui qui à toujours raison , celui qui pisse sur les forces de l’ordre , celui qui défend les étrangers , lui en étant un , et celui qui voudrait être élu premier ministre , mais non , il doit confondre avec premier sinistre !! Car c’est ça la réalité , ce mec est complètement a côté de ses pompes !!
Comme une partie des français qui ont voté pour ce rebus.