Il les installait dans un appartement à Paris toujours pour mieux les préparer aux castings qu’elles allaient faire. Toutefois, l’agent de mannequin profitait de cet éloignement du cadre familial pour imposer son emprise sur ces jeunes filles. Il est jugé depuis lundi pour au moins 15 viols et agressions sexuelles. Sa défense assure que les relations étaient consenties.
Interpellé en juin 2016 pour des attouchements sexuels ou des viols
Johan M. savait aussi choisir ses victimes. Selon une source proche du dossier, un même profil se dégage chez ses jeunes filles, mineures ou non: elles sont fragiles, facilement manipulables et prêtes à tout pour devenir mannequin. Elles croient facilement aux rêves de célébrité que leur vend leur «agent». Pourtant, rapidement, les premières plaintes affluent sur le bureau des forces de l’ordre. En effet, le Gabonais de 43 ans se laissait aller régulièrement à des attouchements qui se transformeront parfois en viols sur ces toutes jeunes filles.
Il faudra attendre sept ans, dont quatre passés en détention provisoire, pour que Johan M. soit enfin jugé pour ses crimes. Depuis lundi 11 décembre, il comparaît devant la cour criminelle départementale de Paris. Il devra répondre de 15 crimes commis entre 2007 et 2014, 15 viols et agressions sexuelles commis parfois sur des mineures de moins de 15 ans.
Une véritable emprise sur ces jeunes filles
Il se comportait comme un gourou de secte. Les témoignages recueillis par la brigade de protection des mineurs font état de la relation d’emprise qu’il avait sur ces apprenties mannequins. Il commençait par le demander de se couper de leur famille avant de les isoler du monde extérieur. Il devra aussi s’expliquer sur leur exploitation. En effet, de nombreuses jeunes filles ont assuré n’avoir jamais gagné le moindre centime, alors qu’elles ont eu des collaborations qui se sont étalées sur plusieurs années.
L’avocate de cinq femmes ayant porté plainte, Me Méhana Mouhou, expliquera que «ses clientes attendent une condamnation qui leur permettra de se reconstruire. Elles ont eu le courage de dénoncer l’omerta qui régnait dans ce milieu». Elle met aussi en cause l’agence avec laquelle le Gabonais travaillait. Le directeur de celle-ci dira en effet qu’il adoptait «un peu un comportement de dictateur» avec les filles. D’autres salariés de cette agence diront ne pas être étonnés de ces poursuites. La sentence sera prononcée le 22 décembre.
Encore une affaire qui n’interessera pas nos féministes puisque le violeur n’as pas le bon profil !!
FOURNIRET qui a violé et tuer plusieurs jeunes filles dans des condition abominable était il noir ? le racisme c ‘est une peur de ce que l on ne connait et une assimilation de dafaut à touteune communauté .
il y des gens honnetes et salopard de toute les couleurs , ce n ‘est pas parce qu un gabonais se comporte de façon condamnable et inacceptable que tous les gabonais sont de la meme nature . Ce n est parce que ton frere ou ton fils fait des betises que tu dois etre condamné et partir en prison
Si si, je suis désolé mais ils sont tous pareil,ils ont tous la cervelle sous la ceinture.
Déjà se faire violer…mais en plus par du nèg….il y a de quoi vomir le reste de la vie!!! Les fesses de nos blanches sont leur fantasme et c’est comme ça que nos femmes sont souillées! Allez-y les braves anti racistes, vomissais sur moi, bien sûr, il n’empêche que c’est vrai! Pourquoi tous les noirs de ce pays courent après des blanches??? Ils sont racistes envers nous mais ne le sont pas lorsqu’il s’agit de se dégoter une blanchette parce qu’elles sont bien meilleures que les noires de leur race!
reste à savoir si dans la « vraie » vie vous tenez le même discours
Un Gabonais comme c’est étonnant ? Mais le plus fou dans cette histoire , c’est de savoir que cela ai durer pendant 7 ans et que rien n’ai été fait !!