Nous avons appris que lundi dernier, deux prévenus, Hussain et Naveed, qui comparaissaient au titre de «passeurs» sont arrivés en pleurant dans leur box avec un casque sur la tête. L’un des deux accusés avait un t-shirt couvert de sang. Les deux hommes avaient tenté de se mutiler dans les cellules du tribunal juste avant leur procès.
Ils transportaient des clandestins en provenance d’Italie
Un des deux prévenus était déjà connu de la Justice pour des faits similaires. Il avait été condamné en octobre à Grenoble pour les mêmes faits. Ici, les deux mis en cause étaient jugés pour avoir aidé à faire entrer sur le territoire national une quarantaine de ressortissants étrangers. Ils ont été arrêtés le 13 décembre à Grigny. Hussain et Naveed convoyaient 40 clandestins entre la frontière italienne et l’Ile-de-France, dans une camionnette Renault Master, à raison de plusieurs allers-retours. Ces migrants sans papiers devaient être logées à Grigny avant d’être conduits vers une autre destination.
Quand les deux pakistanais arrivent dans le box des accusés, la présidente du tribunal a du mal à en croire ses yeux. En effet, Hussain porte un casque de moto. Son escorte pénitentiaire expliquera qu’«il vient de se cogner la tête contre les murs de sa geôle». Naveed, quant à lui, porte un casque de boxeur et son t-shirt est tâché de sang. Alors qu’il était dans sa cellule, le prévenu a utilisé le zip de sa veste pour se trancher légèrement la gorge et les veines du poignet.
Ils menacent de se suicider s’ils sont envoyés en prison
Les deux pakistanais sont assistés d’un interprète. Si les deux hommes jurent qu’ils sont innocents, ils menacent la juge de se suicider s’ils sont condamnés à une peine de prison ferme. Toutefois, la magistrate ne se laissera pas attendrir par ce spectacle pathétique. Elle s’attardera sur les faits et leur rappellera que «la misère n’est pas de ce côté de la barre. Elle est chez les personnes entassées dans cette camionnette». Toutefois, l’affaire a dû être envoyée au 25 janvier prochain. Hussain et Naveed vont restés en détention en attendant leur procès et devront subir une expertise psychiatrique.
Ont lis » l’un des deux avait déjà été condamné pour les mêmes faits » , pourquoi l’avoir relâcher ? Maintenant il faut les rejugés et ça coute un œil !! Alors de grâce , laissez les se suicider , c’est leurs dernière volonté , respectons ça !!
Se suicider, tu parles, ils n’en auront pas le courage, c’est ce qu’on appelle du chantage!
Nous sommes paraît il dans le pays de la liberté, s’ils veulent passer à l’acte, il faut les laisser faire, que les surveillants se tiennent à distance s’il vous plaît, j’espère que leurs collègues feront de même, l’économie engendrée va servir à combler le gouffre financier provoqué par leurs clients.
IL faut même leur fournir le cutter pour le suicide,celà nous couteras moins cher que le jugement.
Se suicider, auraient ils un soupçon d’intelligence?
Je ne vois aucune raison d’aller contre leur volonté!
Ils apprennent vite. Ils n’ont même plus besoin d’avocat pour gruger la justice. Ils y arrivent tous seuls.
Laissez les se suicider ! C’est leur droit
Espèrons qu’ils ne se raterons pas! Ce serait mieux que de les nourrir à nos frais en prison! Je ne suis pas pour tuer les gens, mais si c’est eux qui le font, pourquoi pas, chacun à son juge arbitre.
Magnifique, qu’ils se suicident, cela fera deux merd…. de moins en France.