Il s’était fait connaître pour avoir publié une tribune en 2006 demandant le retour de la peine de mort pour les détenus condamnés à de la prison à perpétuité. Il expliquait alors que c’était préférable à des peines trop longues les faisant «crever à petit feu». Lundi soir, il a renversé violemment une enseignante de 48 ans qui se rendait à son domicile. De plus, l’homme de 68 ans conduisait sans permis de conduire valable. Celui-ci avait été annulé en 2017 pour un solde de points nul, après avoir commis plusieurs infractions.
Condamné en 1984 pour le meurtre d’un policier
Condamné à la perpétuité en 1989, Abdelhamid Hakkar avait formulé des recours jusque devant la Cour européenne des droits de l’Homme. Celle-ci lui avait donné gain de cause et avait reconnu un procès «inéquitable». Suite à cela, la France avait introduit dans sa législation un mécanisme permettant à un condamné d’être rejugé après un arrêt de la CEDH.
Il avait alors bénéficié d’une libération conditionnelle en 2012 et vivait une vie dans l’anonymat à Besançon depuis. Pourtant, l’homme était déjà bien connu du «milieu» dès les années 80. Le 30 août 1984, le vol a main armée d’une bijouterie tourne mal. L’Algérien est poursuivi par la police et tire sur des agents, tuant le premier et blessant gravement le second. De plus, en prison, il avait tenté quatre fois de s’évader dont une en prenant des otages.
La femme est grièvement blessée
Il a fauché cette femme de plein fouets lundi soir. Le conducteur, Abdelhamid Hakkar, n’explique pas comment cela s’est produit. Il dira aux policiers qu’il n’avait pas vu la victime avant l’accident. Cependant, il n’a pas pris la fuite. Il a appelé la police et les secours puis a attendu sur place. Le parquet de Besançon a lancé un appel à témoin pour tenter de clarifier le déroulé des faits. Mercredi soir, la quadragénaire, sévèrement touchée à la tête et souffrant de lésions très importantes, avait toujours son pronostic vital engagé.
Le procureur a annoncé l’ouverture d’une information judiciaire orientée vers la mise en examen d’Abdelhamid Hakkar «pour blessures involontaires ayant entraîné une ITT supérieure à trois mois». La qualification des faits est susceptible d’évoluer en homicide involontaire si la victime venait à décéder.
Bin mince, juge de cirque, espèce de clown, voila comment il faut nommer les juges en France. Ce marlouf est condamné à perpet et il se retrouve en liberté grâce à un avocat aussi menteur qu’un arracheur de dents et grâce à la cour européenne des droits de l’homme. En attendant, il roule sans permit, renverse un piéton et il se trouve des excuses. Mais il faut le pendre cet algérien. En plus, il a tué un policier alors qu’il braque une bijouterie. VIVE LA JUSTICE FRANCAISE.
Il faut vite foutre tous ces juges de pacotille dehors et les remplacer par des gens serieux et compétents qui n’ont pas cette idéologie de gauche comme le mur des cons ou la fête de l’huma. On marche sur la tête en France! Comment voulez vous avoir confiance en cette justice dont le ministre n’a défendu que des assassins ou des terroristes et qui insulte les députés élus par le peuple, en plein Hémicycle!.
MDR, ce déchet tjrs en liberté cela ne m’étonne pas avec cette justice de complaisance avec le ministre Dupond Moretti pour ne pas remplir les prisons, en plus avec aucun suivi et contrôle de la part de la justice et gendarmerie pour ce déchet comme d’hab. ses juges tombent vraiment sur des familles de victimes super gentils car pour ma part cela ne sa passerait pas du tout comme prévu…….