François Hollande, le 19 mai 2015 à Carcassonne ©Wikimedia
Alors qu’il s’était opposé à une alliance avec Mélenchon, il avait rejoint le camp de Carole Delga et de Bernard Cazeneuve. L’ancien président est de plus en présent dans les médias devenant la troisième personnalité politique préférée des Français, la première à gauche.
Le retour d’un paria
Ce «come-back» est d’autant plus étonnant que sa présence n’était souhaitée de personne tellement le bilan de l’ancien chef de l’État était jugé néfaste pour le PS et la gauche en général. Et pourtant, il fera un retour quasi triomphal aux universités d’été du Parti socialiste en août dernier. Son discours se concentrera essentiellement sur les élections européennes. Il les jugera comme «un enjeu majeur pour la démocratie». Hollande arrivera donc à faire oublier qu’il a été le président le plus absent des instances européennes au point de retirer à la France un grand nombre de postes clés au sein des institutions de l’UE. Il ne s’agissait pas d’une politique de la chaise vide mais bien d’une peur effroyable devant la chancelière allemande Angela Merkel.
Tête de liste aux européennes?
Devant le succès grandissant de Raphaël Gluksmann, certains anciens cadres du PS voit en François Hollande une autre possibilité. Cependant, se désolant d’une énième lutte fratricide, un responsable du parti confiera que ce dernier «veut laisser le sentiment qu’il pourrait lui-même porter la liste. Il voit cette échéance comme un retour en politique possible. Tout cela risque encore de tourner à la farce». Même si le principal intéressé dira aux journalistes qu’il n’est «candidat à rien», Hollande, malgré un bilan jugé désastreux même par ses anciens ministres, ne cache plus vraiment son envie de revenir en première ligne. Un de ses anciens «camarades» dira: «S’il peut revenir, il reviendra». Mais, comme souvent à gauche, c’est le vote de la jeunesse qui est visé. Or, c’est un vote volatile qui a tendance à se diriger vers les extrêmes. Reste à savoir à quelle élections il se présentera.
« il déteste les riches soit disant »
quand il a une retraite a plus de 30.000 euros par mois vu toutes les casquettes qu’il a eu et les
livres qu’il a publié
il n’ a rien fait de bon pendant son quinquennat .
nous assistons a la l désindustrialisation du pays et la perte de crédit sur le plan internationale
la France a reculé dans le monde 6e place au point de vue économique alors qu’on était a la 5e place
Qu’a t’il fait de bien entre aujourd’hui, et en fin de mandat présidentiel quand il était à 4% d’opinion favorable ??? Nous en avons des girouettes dans ce pauvre pays !
J’en déduis que les gens de gauche sont des gens amnésiques ou stupides.