Selon les témoignages recueillis et relayés par nos confrères de France Info, en début d’après-midi, deux patients accompagnés de leurs proches ont été admis aux urgences. Excédé par l’attente, un des accompagnant s’en ait violemment pris au brancardier. Les faits ont conduit à l’ouverture d’une enquête par le parquet des Sables-d’Olonne pour «violences contre le personnel médical». Francis Saint-Hubert, directeur général des centres hospitaliers de Vendée, a annoncé dimanche 7 avril que l’hôpital a déposé une plainte.
Un suspect activement recherché
Selon Francis Saint-Hubert, dans une interview accordée à Ouest France, samedi dernier était une journée plutôt calme aux urgences de son hôpital. «Il y avait du travail mais le service n’était pas en situation de surtension et les équipes étaient au complet» expliquera-t-il à nos confrères. Gwenaëlle Cotto, procureure de la République des Sables-d’Olonne, va expliquer que des tensions sont apparues plus tard sur le parking des urgences. En effet, un brancardier, qui se dirigeait vers un autre service, a été pris à partie puis agressé par des accompagnants des deux patients. «Les coups ont été portés par un seul individu», comme l’explique la magistrate. Nos confrère de M6 préciseront qu’il s’agit de personnes issues de la communauté des gens du voyage.
Un grand nombre de personnes accompagnait ces deux patients
Le président du Samu-Urgences de France, Marc Noizet, indiquera que «plusieurs personnes qui accompagnaient en nombre deux patients pris en charge dans ce service ont commencé à s’énerver parce qu’ils étaient frustrés, soit par le délai d’attente soit parce qu’on ne leur a pas permis d’entrer dans le service aux côtés des patients». Pour Frédéric Valletoux, ministre délégué à la Santé, il s’agit d’un acte «odieux et lâche». Il a ainsi rappelé que l’«hôpital est un sanctuaire. Aucune violence envers le personnel soignant ne peut être tolérée». Selon la procureure, l’agresseur a pris la fuite avant l’arrivée des forces de l’ordre. Cependant, son identité est en cours de vérification. Lundi matin, le suspect restait activement recherché par la police.
Gouvernement et justice de merde qui entretien la zizanie par son laxisme !
Et pourquoi ne pas payer un CRS 24 H / 24 à l’entrée des urgence partout en France ?
Ils seraient plus utiles que nos politichiens véreux…
Ce dernier pourrait régulariser les entrées en interdisant les groupes !
Mais bien sûr…mais surtout, il faut les respecter et ne pas dire que ce sont des manouches! ça ne bosse pas , ça vole partout où ça passe et moi je bosse pour eux!!!