Des élèves de son établissement ont fait part d’un possible harcèlement que le jeune garçon aurait subit de certains camarades alors qu’il se questionnait notamment sur son orientation sexuelle.
Inconscient, en arrêt cardiaque, dans les toilettes
Selon les informations recueillies par nos confrères de France 3 Grand Est, le jeune Baptiste était absent au dîner mardi dernier. Ses camarades l’ont alors cherché dans tout l’établissement et c’est un responsable du lycée qui l’a trouvé inanimé. L’adolescent était inconscient, en arrêt cardiaque, dans les toilettes. Malgré l’arrivée rapide des secours, ces derniers ne sont pas parvenus à le réanimer. Le garçon est décrit par les autres élèves comme «très gentil et sans problème». Il était venu des Ardennes pour étudier «l’univers du cinéma et de l’audiovisuel». Il était scolarisé dans cet établissement depuis septembre dernier. Le directeur a confirmé que Baptiste était suivi par le service de la vie scolaire pour «son mal-être». L’autopsie devra déterminer les causes exactes de la mort.
Pour le directeur, il n’était pas victime de harcèlement
Le jeune adolescent s’était questionné ouvertement sur son orientation sexuelle. Ce qui aurait conduit certains de ses camarades à se moquer de lui. Cependant, le directeur du lycée affirmera que: «pour nous, ce n’était pas du harcèlement». Si Nicole Belloubet se fait très discrète sur les questions d’agressions liées à la religion, elle est beaucoup plus présente quand il s’agit de harcèlement lié aux LGBT. Sur Twitter, la ministre de l’Éducation nationale écrira que «la lumière doit être faite sur cette tragédie : c’est ce que j’ai demandé au réseau dont fait partie cet établissement». Sur les réseaux sociaux, plusieurs anciens élèves du lycée Saint-Jean-Baptiste-de-La-Salle ont révélé qu’une «haine envers la communauté LGBT» perdurerait au fil des années.
Qu’est qu’il en sait le proviseur du harcèlement ? Rien !! Ce qui l’arrange c’est de ne pas faire de vagues et d’être accusé de ne pas voir ce qui se passe dans son école , c’est tout !!
Le « Pas de vague » continue. Le directeur prétend savoir du haut de son bureau que ce n’était pas du harcèlement. Qui se souvient d’avoir vu un principal ou un proviseur traîner dans les cours de récréation ? Quand à la « haine » contre la communauté LGBT, j’ai toujours connu des moqueries sans doute mais pas vraiment de haine. D’autant qu’ils ont toujours été les chouchous de certains enseignants, eux aussi très impliqués dans l’affaire, de leur côté.
M’étonnerai qu’il ne savent pas de quoi ce jeune homme soit mort après plusieurs jours, doivent cacher encore une belle m…. à un moment ou la sécurité dans le système scolaire est plus que remise en question, je suis heureux de ne plus avoir d’enfants scolarisés et plaints les parents actuels ,quel foutoir sans nom dans ce pays ….