Dans le studio d’où a été tiré le coup de feu, les policiers retrouveront quatre jeunes, âgés entre 18 et 20 ans. Deux d’entre eux ont été placés en garde à vue, suspectés de proxénétisme, selon les informations rapportées par le Parisien, ce 17 avril.
Un riverain alerte la police après le coup de feu
Le coup de feu aura déclenché l’appel d’un riverain. Les policiers découvriront quatre jeunes dans un studio du troisième étage de la rue de Poitou, un logement touristique loué pour quelques jours seulement. À l’arrivée des forces de l’ordre, les trois jeunes femmes ont des blessures « aux mains, aux pieds, au bras ou au cou ».
Il y a des tâches de sang au sol et sur les murs, des bris de verre, du mobilier cassé, des préservatifs usagers et un sac avec de l’argent liquide. Beaucoup de zones d’ombres restent à soulever. Mais seul le jeune homme et l’une des trois jeunes femmes seront embarqués en garde à vue, suspectés de proxénétisme aggravé, mais aussi pour tentative de meurtre et détention d’arme.
Beaucoup de mystères restent irrésolus dans ce scénario d’épouvante
La mallette de l’arme et son ticket d’achat ont été retrouvés dans le logement de la rue de Poitou. Les deux autres jeunes filles, âgées de 18 et 20 ans, sont originaires de d’île de France et de Lyon. C’est la première division de police judiciaire qui est en charge de l’affaire.
Il manque bien des morceaux pour reconstituer le puzzle de l’énigme qui à cette scène. Malgré les sollicitations de nos confrères du Parisien, le parquet de Paris n’était pas en mesure de donner plus d’informations, ce jeudi 18 avril.
« originaires de d’île de France et de Lyon »…super! Si ça avait été originaires de niger, du maroc, etc, comme c’est le cas le plus souvent, ça n’aurait jamais été dit!!!
Ont veut des noms !!