De plus, il affirme qu’aucune solution de relogement adapté à sa condition ne lui a été proposée. À l’heure où le ministre du logement, Guillaume Kasbarian, tente de faire voter une loi pour faciliter l’expulsion des délinquants et criminels des logements sociaux et que toutes les gauches sont vent debout contre ce texte, cette affaire tombe au plus mal pour les opposants au projet du gouvernement.
Des conditions d’expulsion «inhumaines»
Pourtant, ici, il ne s’agit pas d’un logement social même si, après des années de procédure, l’octogénaire n’aura jamais de réponse à sa demande de logement. Claude F., 84 ans, expliquera à nos confrères de BFMTV qu’il a été expulsé «manu militari» par une vingtaine de gendarmes. «Je me suis tenu à la chaise. Ils ont dû me sortir par la fenêtre sur un brancard» dira-t-il. L’octogénaire, malade et handicapé, a indiqué avoir été «jeté dehors» dans des conditions qu’il juge «inhumaines». Les faits se sont produits vendredi 3 mai alors qu’il vivait dans cette maison depuis 25 ans. Jeudi dernier, il racontera comment son expulsion s’est déroulée: «Ils sont venus, une vingtaine de gendarmes, moi je ne voulais pas partir, je me suis tenu à la chaise. Ils ont dû me sortir par la fenêtre sur un brancard».
Une procédure de divorce à l’origine de l’expulsion
Cette procédure de divorce a débuté il y a plus de 25 ans. C’est son ex-femme qui va récupérer la propriété complète des biens immobiliers du couple en 2017. Cependant, Claude sera atteint par deux cancers et deviendra lourdement handicapé. D’un point de vue purement judiciaire, il occupe effectivement les lieux de manière illégale. Aujourd’hui, le vieil homme se retrouve à dormir dans sa voiture. Il confiera espérer que «les pouvoirs publics vont me trouver rapidement un logement qui corresponde à ma condition physique». Le maire de Puy-Sanières, Bruno Paris, explique comprendre la décision de justice mais, ajoutera-t-il: «ce que je ne comprends pas, c’est que la personne concernée est malade, âgée et avec des problèmes de mobilité, et qu’elle est expulsée sans solution de logement correcte derrière».
On ne sait rien de cet homme, la procédure dure depuis 25 ans, il avait largement le temps de trouver une solution de relogement et de se faire aider pour ça. Au lieu de ça il a laissé la situation pourrir. Est-ce qu’il payait un loyer depuis 25 ans. Est-ce qu’il battait sa femme? Est-ce que c’était quelqu’un de « bien ». L’article est fait pour que l’on s’apitoie sur son sort et se garde bien de dire comment il en est arrivé là. Il est très triste d’en arriver à ces extrêmes, mais on ne peut prendre parti sans tout savoir.
bien vu – rien a redire . Merci Balladin
La vraie responsable c’est son ex femme qui en plus de l’avoir divorcé, dépouillé, alors qu’il est malade et handicapé l’expulse par pure cupidité et avidité
le seul monstre dans cette affaire c’est la femme égoïste et sans cœur
Vous ne connaissez rien du dossier de divorce mais cela ne vous empêche pas de porter un jugement péremptoire ! Cas typique des réseaux où les juges amateurs disent n’importe quoi.
Bonjour Patrick S. Vous n’avez pas tort, mais, si les journalistes publient ce fait divers, c’est pour une double raison, à savoir l’âge et le handicap. Il faut comprendre qu’il puisse y avoir, sur le moment, toutes sortes de réactions à chaud, bonnes ou mauvaises, parmi les lecteurs. A chacun ses opinions. Personnellement, j’espère qu’il y aura rapidement une solution de relogement. Sur ce, bonne journée.
Bonjour Patrick S. Vous n’avez pas tort, mais, si les journalistes publient ce fait divers, c’est pour une double raison, à savoir l’âge et le handicap. Il faut comprendre qu’il puisse y avoir, sur le moment, toutes sortes de réactions à chaud, bonnes ou mauvaises, parmi les lecteurs. A chacun ses opinions. Personnellement, j’espère qu’il y aura rapidement une solution de relogement. Sur ce, bonne journée.
Faible avec les forts, fort avec les faibles, la devise de notre gouvernement 🤮
Oui
Si c’était de la racaille, ou des squateurs, on aurait pris des gants et suivi toute une procèdure avec relogement à la clef, mais là, un pauvre vieux sans défenses, on se régale!
Félicitations au prefet et à toute la clique de juges et autres proceduriers qui permettent ça sans solutions de relogement alors que les sans papiers et OQTF sont logés, nourris et plus encore!
Honte à cette France!
Hors sujet, c’est la suite d’une longue procédure et d’une décision de justice datant de 2017 !
Ah si le pauvre homme avait vendu de la drogue, on aurait vu immédiatement « je suis la République » ainsi que sa tardigrade géante, venir le défendre.