Il avait étranglé son ex-compagne, la mère de ses quatre enfants, devant ces derniers. Il avait ensuite enterré le corps de la victime dans une forêt au nord de Strasbourg. Ce meurtre a eu lieu après des années de violences conjugales, dénoncées par la jeune femme mais ignorées par la justice.
Le procès du meurtrier et des autorités
L’assistante sociale qui accompagnait la jeune femme, décédée à l’âge de 25 ans, rappelle qu’elle l’avait accompagnée à de nombreuses reprises pour porter plainte contre son bourreau. Cependant, l’ex-compagnon n’aura au mieux qu’un rappel à la loi. Il ne sera jamais placé en garde à vue, encore moins mis en examen. Le couple était ensemble depuis 2011 alors que la victime n’avait que 16 ans. En 2016, elle avait déjà déposé trois plaintes et treize mains courantes. Selon l’assistance sociale, «Le domicile portait tous les stigmates de la violence, toutes les portes étaient défoncées», dira-t-elle devant le juge. «Elle me disait que c’était lui l’auteur des coups». Même les voisins étaient au courant de ces violences. Mais les témoignages et les plaintes n’y changeront rien, l’accusé ne sera jamais inquiété par la justice.
L’assassin de la jeune femme évoque «une relation difficile»
Les noms des protagonistes n’ont pas été communiqués à la presse pour préserver l’anonymat des enfants. Le couple a eu ses quatre enfants entre 2013 et 2018. L’accusé admettra que c’était difficile pour la jeune femme, qu’elle «galérait» pour s’en occuper. «Alors on s’organisait selon son programme à elle, je disais oui à tout», expliquera-t-il à la barre. Le couple se sépare souvent mais se remet ensemble aussitôt. L’accusé indiquera que «tous les deux jours, elle me rappelait». Et d’ajouter: «On ne savait même plus où on en était: trois jours on était ensemble, trois jours on n’était plus ensemble… C’était les montagnes russes».
Selon les investigations, c’est dans ce contexte de séparations multiples qu’est intervenu le meurtre de la jeune femme. Il semblerait que la dernière dispute était bien la dernière pour elle, les serrures de l’appartement seront changées. Cependant, l’homme reviendra le 23 décembre 2020 et il étranglera la mère de ses quatre enfants sous leurs yeux. L’avocat général a requis la réclusion criminelle à perpétuité.
et elle est où cette « justice de miairde????!!! Aucune plainte ne peut être déposée contre ces incompétents trop attachés à leur fauteuil et à leur retraite tranquille plutôt que défendre les opprimés????? C’est quoi le problème, surtout ne pas faire de vagues n’est-ce pas?? L’ordure s’appelle sidi ben akbah et on en a peur??? C’est trop souvent comme ça! ça rappelle bien entendu les multirécidivistes immigrés, et les OQTF qui n’en ont rien à s’couer de cette « condamnation » et qui finissent par violer une blanche ou jouer du couteau selon leurs moeurs!!!
VIVEMENT LES ELECTIONS!!!