Des lieux de rassemblement supposés de la droite et de l’extrême droite seront saccagés, notamment à Nantes, à Rennes, à Angers et à Paris. Des églises seront taguées, comme à Toulouse, où l’on pourra lire «À bas l’État des curés et des bourgeois» par exemple. Cependant, comme à chaque fois que la gauche descend dans la rue, ce sont bien les forces de l’ordre qui ont été prises pour cible, et de manière extrêmement violente.
Les policiers dans l’obligation de prendre la fuite
Dans la nuit de lundi à mardi, 3.000 personnes au moins se sont réunis Place de la République à Paris. Ils venaient manifester contre les résultats des élections européennes. Pour rappel, il a s’agit d’un scrutin historique par sa participation, près de 52% des Français sont allés voter, et par le score du premier parti politique, qui a franchi la barre des 30% sans aucune alliance. Il y avait donc la possibilité de prendre simplement acte des résultats du vote, surtout après l’annonce de la dissolution de l’Assemblée. Cependant, l’extrême gauche descendra dans la rue, contester une élection des plus démocratiques, et laissera éclater toute sa violence dans les rues de nos villes. De plus, les policiers déployés sur place n’ont pu qu’utiliser leur gaz lacrymogène face aux cocktails molotov, aux jets de pierre, aux mortiers d’artifice. Des équipages des forces de l’ordre ont même été poursuivis par des membres de l’ultra gauche.
Des scènes de chaos dans toutes les rues de la capitale
Cette soirée, en particulier, a été le théâtre de scènes d’affrontements entre l’ordre républicain et les forces de l’extrême gauche. Cette violence s’est déchaînée au milieu des riverains et des automobilistes coincés dans ces émeutes. Il faut rappeler que ces manifestations ont été réalisées sans aucune autorisation préfectorale, à l’appel de syndicats et de partis politiques comme LFI et des écologistes, grands perdants de ces élections avec 5.5% des suffrages. Les journalistes ont pu surtout voir des nuées d’individus vêtus de noir, encagoulés, n’arrêtant pas les coups portés aux forces de l’ordre. Comme à chaque fois, des incendies se sont déclarés dans différents lieux et du mobilier urbain et privé a été détruit.
Vivement le 7 juillet que la peur change de camp. Et ils veulent semer le bazar après les élections si elles ne leur conviennent pas ? Tant mieux, on s’occupera plus facilement d’eux.
Où est la sévérité à tous les étage de macron et de son gouvernement, elle se situe sous la ceinture ?
Au lieu d’aller provoquer les russes, ce grand chef de guerre ferait mieux de faire son apprentissage en mettant de l’ordre en France.