« Selma 8eme Merveille », son nom sur les réseaux sociaux, influenceuse suivie par des dizaines de milliers de personnes sur Instagram et Snapchat, a été mise en examen, par un juge d’instruction de Pontoise, samedi 15 juin. Elle a séquestré, frappée et humiliée, sur une vidéo sur les réseaux sociaux, deux jeunes gens de 19 ans.
Ils étaient venus brûler sa voiture
« Selma 8eme Merveille », son nom sur les réseaux sociaux, influenceuse suivie par des dizaines de milliers de personnes sur Instagram et Snapchat, a été mise en examen pour « vol avec arme, violence aggravée, enlèvement et séquestration et diffusion d’images relatives à la commission d’une atteinte volontaire à l’intégrité de la personne », par un juge d’instruction de Pontoise, samedi 15 juin.
La mère de famille de 35 ans a diffusé une vidéo, où on la voit humilier deux jeunes personnes de 19 ans. Ces derniers se seraient rendus devant chez elle, après avoir été recruté par un commanditaire sur Snapchat, pour brûler sa voiture. Mais au moment où ils s’apprêtent à jeter un cocktail Molotov, ils se font repérer par des voisins, qui alertent Selma. Avec l’aide de plusieurs jeunes du quartier, elle les rattrape sur un parking. Les deux victimes se font frapper et gazer.
Elle aurait eu peur pour ses enfants
Ensuite, elles les traînent chez elle, les déshabillent et les frappent avec une queue de billard. Elle filme la scène et la diffuse sur les réseaux. Elle leur demande de se mettre à genoux et les forcent à donner leurs noms et celui du commanditaire. D’après elle, ce dernier est une autre influenceur contre lequel elle avait porté plainte. Les deux jeunes ont finalement réussi à s’enfuir et retrouvé par des policiers, après avoir été prévenus que deux personnes déambulaient nues dans la rue.
« Elle a perdu les nerfs et est tombée dans une sorte de délire de vengeance », selon l’avocat de l’accusée, Me Tom Michel, auprès de 20 Minutes. D’après lui, elle se fait régulièrement agressée devant chez elle et elle aurait eu peur pour ses enfants, qui jouaient dans le jardin au moment des faits. « La justice a tendance à se montrer plus sévère, de manière préventive, envers les influenceurs et qu’elle rechigne à les placer sous contrôle judiciaire ou sous surveillance électronique, de peur qu’ils formulent des critiques sur les réseaux sociaux », dit encore l’avocat. Une enquête a été ouverte par le parquet de Pontoise.
J’aimerais connaitre le niveau scolaire des personnes qui écrivent les articles, car je vois trop souvent des fautes de français , fautes qui sont du niveau CM2, il serait donc souhaitable de refaire une lecture avant publication.
Certes ce ne sont pas des innocents et ils faut qu’ils soient sévèrement puni, mais concernant l’influenceuse, quand on s’expose ainsi que sa vie privée sur les réseaux sociaux, faut pas s’étonner de se faire agresser.
Les réseaux sociaux font plus de mal que de bien chez les jeunes, regardez tout ce qui se passent et pourtant les parents irresponsables laissent leurs enfants dessus.