Alors qu’il se sait «détesté» par une grande partie des Français, il poursuit sa stratégie qui consiste à se présenter comme le dernier rempart de la démocratie. Renvoyant dos à dos Rassemblement national et Nouveau Front populaire (NFP), le président adopte désormais une position très droitière qui déconcerte même dans son propre camp.
«Moi ou la guerre civile»
Il fallait qu’il continue l’escalade du pire dans son discours. Ainsi, lundi 24 juin, dans un podcast «Génération Do It Yourself», le chef de l’État assènera que les programmes des deux «extrêmes» vont mener inévitablement à «la guerre civile». Interrogé sur les programmes du RN et du NFP, Macron répondra qu’ils «répondent à des vrais problèmes, des vraies colères, des vraies angoisses». Et d’ajouter: «Mais, ils répondent mal à mes yeux (…) en accroissant la conflictualité et le risque de guerre civile». Par conséquent, suivant sa propre logique, pour éviter «le pire», les électeurs doivent donc voter pour les listes de la majorité présidentielle. Peu importe si François Bayrou et Édouard Philippe n’ont pas de mots assez durs contre Macron suite à cette dissolution décidée seul.
Le gouvernement porte la parole du président, les candidats se démarquent
Gabriel Attal, qui doit porter le bilan des sept années à l’Élysée du chef de l’État, va se plier à cette rhétorique. Il faut donc alerter sur le danger des «extrêmes». Lundi 24 juin, lui aussi, dira que «le vote utile contre les extrêmes, dès le premier tour, dès le 30 juin, ce sont les candidats Ensemble pour la République». Sur le terrain, c’est bien un tout autre son de cloche. En effet, les candidats ont vu leur électorat voter sans complexe pour le Rassemblement national. Si LFI est en recul, le cartel des gauches revient à ses plus hauts niveaux grâce au Parti socialiste. La macronie arrive en ordre dispersée et certains candidats préfèrent reprendre leur logo d’origine, comme chez Horizons ou le Modem, plutôt que de s’affubler de celui de la majorité présidentielle.
Qu’il dégage je ne le supporte plus, il a choisi que des ministres à la con, il n’a aucune valeur et se prend pour Dieu, une plume au cul dans un champ il ferait peur aux corbeaux, vivement le changement et ils ont intérêt les remplaçants de faire les choses correctement sinon ils subiront les mêmes corrections…..
Incompétent jusqu’au bout, le micron et sa clique ! 🙁