À partir de là, les dissensions plus anciennes sont remontées à la surface et de nouvelles sont apparues. Mise en avant par les frondeurs, il s’agissait surtout de l’omniprésence de Mélenchon dans le fonctionnement des instances du parti et de la construction de la ligne politique. Ainsi, ils seront quatre à être exclus des insoumis avant le premier tour des législatives anticipées. Puis, Ruffin et Autain élus, ces derniers quitteront à leur tour leur groupe ne supportant plus les excès de leur ancien chef et de son premier cercle.
Le PCF cité en premier lieu, ils rejoindront finalement le groupe Les Écologistes
Seule Raquel Garrido n’a pas été élue. Elle a préféré se retirer au second tour pour laisser la place au candidat NFP. Cependant, son conjoint, Alexis Corbière, Danielle Simonnet et Hendrik Davi ont gagné leur duel le 7 juillet. Clémentine Autain avait été élue au premier tour et François Ruffin, de justesse, au second dans la Somme. Selon nos confrères de BFMTV, les cinq députés vont désormais siéger avec le groupe Les Écologistes à l’Assemblée nationale. Ils incarnaient une ligne plus modérée au sein de LFI mais le parti mélenchoniste s’est clairement tourné vers l’ultra gauche en choisissant des candidats comme Rima Hassan, Raphaël Arnault ou encore Aly Diouara pour ne citer qu’eux.
Mais où est le projet écologistes au sein des… Écologistes?
Certes, les cinq nouveaux élus ont été accueilli à bras ouverts par le parti comme l’a confirmé Cyrielle Chatelain, ancienne présidente du groupe. Les députés Verts avaient voté à l’unanimité lundi matin pour accueillir dans leurs rangs les «frondeurs» insoumis. Il est à noter que Corbière, Autain, Davi, Simmonet et Garrido ont lancé leur propre mouvement: l’APRÉS: l’Association pour une République Écologique et Sociale. Dans un communiqué commun, les six anciens insoumis avaient écrit au PCF et aux Écologistes pour lancer la création d’un groupe commun. «Nous ne siégerons pas dans le groupe insoumis. Nous aspirons à siéger dans un groupe nouveau, associant des écologistes, des communistes, des membres de Génération.s et nous», expliqueront-ils.
Ça va discuter écologie sans savoir ce qu’est un watt.
Hi, hi, hi, hi pauvre de nous qui allons être gouverner par des abrutis pareils….
Il est vrai que les écologistes ne sont en réalité que des gens de gauche déguisés en vert pour gagner des voix. L’écologie qu’ils prônent n’est qu’une écologie de bazar, le plus souvent ridicule ! Dommage que les gens se laissent encore berner ….! Car tous ça, ça vole au ras des pâquerettes ! Quelle pitié pour la France !!!
Complètement d’accord avec vous.
La soupe est bonne, ils trouvent toujours des astuces pour se cramponner aux branches. Ne pas pouvoir supporter la colère éternelle du dictateur on les comprends très bien, mais par contre que les écolos les accueillent à bras ouvert prouve bien que le parti n’a d’écologiste que le nom, leur but est d’emmerder le monde et ils trouveront toutes les fausses raisons. On oublie trop souvent comment a été fondé le GIEC : souvenez-vous des paroles du « climatologue » Stephen Schneider : « Nous devons présenter des schémas effroyables, proférer des affirmations simplistes et catastrophiques sans prêter attention aux doutes que nous pourrions avoir. Chacun d’entre nous doit choisir entre l’efficacité et l’honnêteté ». Ainsi fonctionne le GIEC ! Et l’honnêteté pour un politique…
C’est élus récemment ne pensent qu’au salaire qu’ils vont persevoir, les gens ils s’enbalancent
Les gesticulations idéologiques entachent malheureusement le travail de recherche sur le climat et l’énergie. Abonnez-vous à l’AFIS et leur revue « Sciences et pseudo-sciences ».
Vous savez le GIEC est une bande de fonctionnaires de l’ONU. Comment peut-on avoir la naïveté de croire des fonctionnaires qui ne songent jamais qu’à « attendre sans s’en faire que l’heure de la retraite sonne » comme dit la chanson . Regardez quelques sketchs des Chevaliers du Fiel, par rapport à la triste réalité ils sont bien en dessous de la vérité. Pensez donc au covid… nouvelle expérience de ces gens là pour nous couillonner.