Un jeune homme de 19 ans a été condamné à 18 mois de prison, dont un an ferme, pour violence en état d’ivresse manifeste, en récidive et de rébellion, lundi 15 juillet, par le tribunal correctionnel d’Évry-Courcouronnes. Il aurait agressé très violemment un homme au point presque de rendre aveugle.
Il tombe sur un groupe de jeunes gens
Enzo V., 19 ans, a été condamné à 18 mois de prison, dont un an ferme, pour violence en état d’ivresse manifeste, en récidive et de rébellion, lundi 15 juillet, par le tribunal correctionnel d’Évry-Courcouronnes. Il sera également forcé de suivre des soins psychologiques et en addictologie à sa sortie de détention, mais aussi indemniser la victime.
Dans la nuit de samedi 13 juillet à dimanche 14 juillet, un homme contacte la gendarmerie, en leur racontant qu’il a été agressé par un homme. Il l’aurait interpellé par un groupe de jeunes gens, alors qu’il roulait en voiture. Ces derniers avaient bloqué la route avec des plots. Il essaye d’entamer une discussion avec eux, puis, quand il tente de sortir de sa voiture, l’un d’eux commence à le frapper avec une série de coups de poings. Il a réussi à s’enfuir, avant de contacter la police.
Déjà condamné pour violences
À son arrivée sur les lieux, la police trouve plusieurs personnes, dont l’une d’entre elle répond à la description de la victime, dans une Clio grise. Au moment de son interpellation, le jeune homme ne se laisse pas faire. Quant à la victime, souffrant d’hématomes, d’une fracture orbitaire et de la mâchoire, elle est conduite à l’hôpital. « Il aurait pu finir aveugle et ne pourra plus manger pendant un certain temps », d’après la procureure. « Vous pensez que j’aurais pu faire ça avec mes 60 kg, s’exclame le prévenu, agressif. J’avais 1,40 g d’alcool ! », se défend pour sa part l’accusé lors de sa comparution.
Concernant son refus d’obtempérer, il affirme que ce sont les gendarmes qui s’en sont pris à lui sans explication. « Vous avez déjà été condamné devant le tribunal pour enfants en 2023 pour des violences en réunion, lui rappelle la présidente du tribunal. Vous avez été condamné à une peine lourde, 9 mois de prison ferme pour un mineur primodélinquant, ce n’est pas banal », lui répond la magistrate.
Il ne faut pas frapper les enfants, mais s’ils avaient pris quelques coups de pieds dans les fesses, à chaque fois qu’ils se comportaient mal, il n’éprouveraient peut-être pas le besoin de taper les autres ! Les jeunes ne reçoivent plus aucune éducation et on s’étonne de leur agressivité ? Mais ils ont besoin de connaître les limites et ce n’est pas en leur permettant tout qu’ils les apprendront ! La preuve en est : moins ils sont réprimandés, plus ils deviennent violents ! Et les jeux virtuels n’arrangent rien, bien au contraire. Sauf que, dans la vraie vie, les gens tués ne se relèvent pas ! On n’achète pas des points de vie !
Le service militaire leurs remettrait les idées en place et leurs donnerait une éducation qu’ils n’ont plus chez eux car les parents eux aussi n’ont aucune éducation ou démissionnent et au lieu de se droguer ou picoler ils apprendraient le respect des autres…..
Tout à fait d’accord avec vous,je travaille dans les écoles primaires et même là,il ne faut rien dire au enfants et si ils nous frappe, nous n’avons pas le droit de nous défendre, nous devons juste nous protéger. C
‘est ça leurs débile « Éducation positive ». Il ne faut pas faire de vagues » Ça permet à nos responsables hiérarchique de ne pas avoir les parents sur le dos.