Dans le contexte troublant où la menace terroriste continue de peser en France, un groupe présumé d’extrême droite fait l’objet d’accusations sérieuses de planification d’attaques contre des loges maçonniques.
Le Parquet national antiterroriste (Pnat), après une enquête minutieuse, a adressé des requêtes pour un procès à l’encontre de huit individus en lien avec cette affaire. Les faits reprochés aux suspects dessinent le portrait alarmant d’un acte de violence potentiellement dévastateur, avorté grâce à l’efficacité des services de renseignement.
Une enquête rigoureuse révèle un complot
Initiée en février 2021, l’enquête s’est attardée sur les actions présumées du groupe « Honneur et Nation ». Indépendamment d’une apparente implication indirecte, Rémy Daillet, figure connue des milieux complotistes et autrefois expatrié en Malaisie, a été écarté du dossier par le Pnat, qui le juge comme n’ayant joué qu’un rôle « indirect et résiduel » dans cette intrigue. Les éléments collectés ont mis en lumière un projet baptisé « projet Alsace », impliquant des rencontres, des repérages de loges maçonniques, mais également l’acquisition de composantes d’armes et la fabrication d’explosifs.
Une idéologie fondée sur la haine
Les profils idéologiques des individus impliqués, selon les déclarations du Pnat, convergent vers une fascination inquiétante pour la violence et les idéaux extrémistes. Cinq des suspects seraient affiliés au groupuscule néo-nazi susmentionné, tous mutualisant une aversion profonde et persistante à l’encontre des Juifs et des francs-maçons. Cette haine commune et ces plans d’action violents ont amené les procureurs à classer cette affaire sous le label d’une tentative d’acte terroriste, soulignant l’intention manifeste de semer la terreur et viser l’ordre social à travers des victimes symboliques.
Des accusés aux profils variés
Parmi les suspects figurent des individus aux parcours sociaux divers, des parents de famille pour certains et en grande partie résidents de l’est de la France. Les métiers exercés vont du chômeur au cuisinier en passant par une ancienne auxiliaire de vie. Certaines déclarations au cours des gardes à vue ont tenté de redéfinir le projet comme étant un plan de survie, alors que l’un des principaux accusés, évoquant des problèmes d’alcoolisme, s’est défendu en rejetant tout antisémitisme.
La complexité de l’affaire se reflète aussi dans ses ramifications, puisque l’instruction englobe également le « projet Azur », axé sur un hypothétique renversement du gouvernement en automne 2020, ainsi que l’affaire concernant l’enlèvement de la petite Mia, fait d’actualité où le nom de Rémy Daillet réapparaît.
Elle a bon dos l’extrême droite quand on voit les Delogu et autres Porte, la Rima Hassan et la grosse Panot, qui est d’extrême droite qui est d’extrême gauche prêt à tout faire sauter si ça leur rapporte de bonnes planques ?
les inconnus : il y a les bons complots, et les mauvais complots….
le sage, la lune, l’imbécile, le doigt….
circulez, on gère….
enfin savoir que le judaïsme est noyauté par une minorité d’extrémistes non sémites non juifs, se protégeant derrière l’accusation d’antisémitisme….