Cependant, il apparaît pour certains de ses collègues socialistes qu’il n’a rien retenu des conflits nés dans la Nupes. Alors que le nombre de ses opposants ne fait que croître, le Premier secrétaire continue de soutenir la candidature de Lucie Castets, pourtant écartée par le chef de l’État, au lieu de proposer une personnalité de son camp. Les universités d’été du PS se sont ouvertes sur des dissensions fortes où Faure est au centre de l’attention.
Le PS n’a pas besoin du NFP pour exister
L’entêtement de Faure à vouloir rester dans le groupe du Nouveau Front populaire agace chez une partie des ténors du parti comme chez les militants. Si pour les uns, il représente «les supplétifs de la stratégie du bruit et de la fureur de Jean-Luc Mélenchon», pour les autres, ceux qui le critiquent sont «les supplétifs de la politique des riches d’Emmanuel Macron». Pourtant, le courant contestataire est majoritaire au sein du PS avec 20.5% pour Debout les socialistes d’Hélène Geoffroy et 30.5% pour Refondations de Nicolas Mayer-Rossignol. Tous s’accordent à vouloir un Premier ministre de gauche mais pourquoi «s’acharner» sur le nom de Lucie Castets comme le fait Olivier Faure, s’interrogent ses opposants? Deux autres points sont soulevés pour remettre en cause le leadership du Premier secrétaire: le refus de retourner à la table des négociations à l’Élysée et le fait de ne pas vouloir rompre définitivement avec la France insoumise.
Olivier Faure estime que sans les insoumis, la gauche n’est plus majoritaire
Pourtant, la gauche n’a qu’une majorité relative. LFI n’a que 72 sièges et Raphaël Glucksmann a montré que la gauche sociale-démocrate était le courant majoritaire de son aile politique. Cependant, Olivier Faure reprend la rhétorique des insoumis et considère que le NFP a une majorité à l’Assemblée, faisant fi des motions de censure qui tomberont, de la macronie au RN en passant par les partis de droite. De plus, comme un pied-de-nez à ses opposants, il a invité Lucie Castets à prendre la parole lors des universités d’été du PS. Marine Tondelier et Clémentine Autain, ex-LFI, se sont exprimées en faveur du NFP et d’une rupture avec une gauche qu’elle considère trop libérale.
Il est fatiguant. Il est entrain de tuer le PS. Les militants doivent se libérer de lui qu’ils le laissent partir chez Mélanchon. Le PS perd son âme, il faut savoir reculer pour reprendre de la profondeur A quand une véritable renaissance de ce parti
Ce parti de merde hypocrite qui se sont associés avec LFI pour faire barrage au RN, moi je n’en veux pas de ses abrutis qui ont tjrs été hypocrites, quand Sarko en avait pris comme ministre dans son gvt déjà les faux culs mangeaient dans tous les rateliers surtout quand il y a des bonnes places à prendre qui leurs donnent un statut intéressant pour leurs intérêts personnels, à vomir ce parti…..
Ni Lucie Castet ni les Insoumis !! Ce parti est rempli de débiles avec a sa tête Mélenchon et sa clique de guignols !!
Ce faux cul qui n’existe encore que par ces accords plus que douteux avec LFI, vient nous donner des leçons à nos télés de gauches! Il sait que sans ces accords il ne serait plus rien, alors il s’accroche car la paye doit être bonne!