L’auteure des faits avait été interpellée, il s’agit de Dahbia Benkired. Dans une information confirmée par nos confrères de RMC, le ministère public a requis le renvoi de cette dernière devant une cour d’assises. Les crimes qu’elle a commis peuvent la conduire à une condamnation à la réclusion à perpétuité.
Un crime atroce qui avait choqué toute la Nation
Dans l’affaire de la petite Lola, le ministère public souhaite que la suspecte soit jugée devant une cour d’assises. «Le parquet de Paris a requis la mise en accusation, et donc le renvoi devant la cour d’assises, de Dahbia Benkired pour les infractions de viol sur mineur avec torture ou acte de barbarie et meurtre d’un mineur de 15 ans accompagné de viol, torture ou actes de barbarie». Âgée de 24 ans au moment des faits, de nationalité algérienne, cette femme s’était d’abord décrite comme une sans domicile fixe avant que les enquêteurs ne découvrent qu’elle vivait chez sa sœur à Paris. Active sur les réseaux sociaux, elle était loin de mener une vie de marginale, bien au contraire.
Viol, torture et actes de barbarie, meurtre sur une enfant de 12 ans
Le 9 septembre, le parquet de Paris avait rendu son réquisitoire définitif. Il avait alors précisé qu’il «appartient désormais au juge d’instruction de décider par ordonnance des qualifications qu’il retiendra et de l’éventuel renvoi devant la cour d’assises». Pour rappel, le 14 octobre 2022, la petite Lola avait été retrouvée morte, non loin de chez elle, le corps atrocement mutilé et dissimulé dans une malle en plastique. Dahbia Benkired avait entreposé cette dernière dans un immeuble du 19e arrondissement parisien, rue Manin. Ses parents étaient les gardiens de cette résidence. L’Algérienne avait été rapidement interpellée et mise en examen. Elle vivait de temps en temps dans cet immeuble où logeait sa sœur. Elle était en situation irrégulière sur le territoire national et sous le coup d’une OQTF.
Mettez-la dans un avion et…… ouvrez la porte !!!! On ne va pas, en plus, l’entretenir !!!!
Il y a certainement énormément de choses là derrière, et :est ce que vraiment la « justice » et l’État veulent les connaître ? On parlera bien entendu de folie, c’est si facile.