Le Français occupait le poste de commissaire au marché intérieur chargé des industries de défense. Il gardera l’image de celui qui s’est élevé contre les géants de l’informatique comme Google ou encore Microsoft.
Un ardent défenseur du respect de la vie privée
Thierry Breton se dit «désavoué» par la présidente allemande Ursula von der Leyen qui a, selon lui, «demandé à la France de retirer son nom» de la liste des candidats à la Commission. Pourtant, Emmanuel Macron l’avait officiellement nommé comme candidat de la France. Si les mots du Français seront élogieux à l’égard des équipes avec lesquelles il a travaillé, ils le seront beaucoup moins envers la présidente de la Commission européenne. Ainsi, il dira: «Je tiens à exprimer ma plus profonde gratitude à mes collègues du Collège, aux services de la Commission, aux députés européens, aux États membres et à mon équipe. Ensemble, nous avons travaillé sans relâche pour faire avancer un programme ambitieux de l’UE». Puis, Thierry Breton ajoutera: «À la lumière des derniers développements, qui témoignent une fois de plus d’une gouvernance douteuse, je dois conclure que je ne peux plus exercer mes fonctions».
Une nomination qui ne passe pas
Thierry Breton n’est pas le seul à contester la nomination de l’eurodéputé conservateur allemand du Parti populaire européen Markus Pieper. Ce dernier est en charge désormais des petites et moyennes entreprises, un poste hautement rémunéré au sein de la Commission, plus de 20.000 euros par mois pour un contrat de quatre ans renouvelable deux ans. «Il y a quelques jours, dans la toute dernière ligne droite des négociations sur la composition [de la future Commission européenne], vous avez demandé à la France de retirer mon nom – pour des raisons personnelles qu’en aucun cas vous n’avez discutées directement avec moi – et proposé, en guise de compromis politique, un portefeuille prétendument plus influent pour la France», écrit le Français dans sa lettre. Et d’ajouter: «C’est un autre candidat qui va vous être proposé». En effet, Emmanuel Macron a présenté la candidature de Stéphane Séjourné, ministre démissionnaire des Affaires étrangères.
Il faut avouer que les réformes Gastounet pour nous faire entretenir le Maire, ses copains et ses Municipaux, le Président de la métropole et sa bande, le Président de la communauté de communes et sa horde, le Président du département et son gang, le Président de la région et ses joyeux compagnons, les gestionnaires de toutes sorte (bien souvent parent, copain, maitresse ou giton d’un élu ou d’un syndicaliste), qui sont plus nombreux et mieux payés que les soignants à l’Hôpital, les enseignants à l’École, les chercheurs au CNRS, etc, sans compter les différents Conseils, Comités, et encore mieux depuis Choupinet : Mc Kinsey et ses potes de la CIA, les associations lucratives sans but et tous les « passagers clandestins » que nous devons entretenir : ça coûte cher !
Complètement raison, surtout pour le peu qu’ils sont présents c’est pitoyable par rapport à des gens qui travaillent toute la journée pour un petit salaire, avec aucun contrôle de la part de responsables du gvt, à vomir…
20 000€ par mois ???
et on parle de nous augmenter les impôts, une honte
Ont aura compris que c’est Ursula (qui n’as été élue par personne) qui dirige l’Europe ainsi que les pays qui devraient rester souverains.