Un homme armé d’un couteau a été grièvement blessé par des policiers après que plusieurs tentatives de désamorçage ont échoué, mardi 1er octobre 2024, à Paris. Malgré l’usage d’un taser et de multiples sommations, les forces de l’ordre ont dû tirer pour neutraliser la menace. L’individu, souffre de troubles psychiatriques.
La police tente de le désarmer
Un homme armé d’un couteau a été grièvement blessé par des policiers à Paris, mardi 1er octobre 2024, après que les forces de l’ordre ont échoué à le neutraliser par d’autres moyens. L’incident se déroule dans le quartier de Belleville, aux alentours de 16h00, selon les informations du parquet de Paris. L’individu, décrit comme menaçant, déambule alors sur la voie publique, sans répondre aux sollicitations des policiers municipaux. Les forces de la Brigade territoriale de contact (BTC), rapidement appelées sur place, ont tenté à plusieurs reprises de désarmer l’homme, d’abord avec des sommations, puis avec un pistolet à impulsions électriques. Sans succès.
Face à la menace persistante, les agents ont alors fait usage de leur arme à feu, atteignant l’homme. Celui-ci a été transporté d’urgence à l’hôpital dans un état critique. Son pronostic vital était initialement engagé, mais ses jours ne sont plus en danger. Sa famille a précisé que cet homme souffrait de troubles psychiatriques, ce qui a sans doute contribué à l’escalade de la situation.
Deux enquêtes ouvertes
Deux enquêtes ont été ouvertes pour éclaircir les circonstances de cette intervention. L’une, confiée au 2e district de police judiciaire, porte sur une tentative d’homicide volontaire contre des policiers. La deuxième, menée par l’Inspection générale de la police nationale (IGPN), cherche à déterminer si les policiers ont agi en respectant les protocoles, notamment en ce qui concerne l’usage de la force, vu que la victime a subi des blessures graves nécessitant une incapacité de travail supérieure à huit jours.
D’après les premiers témoignages recueillis, l’homme brandissait son couteau, bras tendu en direction des policiers, tout en ignorant les multiples sommations. L’usage du taser n’a pas réussi à interrompre sa progression, ce qui a conduit les agents à faire feu pour stopper une menace directe. Le parquet de Paris précise que les enquêtes en cours visent à établir avec précision le déroulement des faits et la légitimité des actions des forces de l’ordre.
encore un consanguin dégénéré!
Les forces de l’ordre (policiers et gendarmes) sont assermentés donc leur parole n’est pas mise en doute. Pourquoi une enquête pour savoir si il y a légitimité de l’action des forces de l’ordre? On dépense de l’argent pour contrôler des gens assermentés! La justice à le don de faire ce qui est inutile. Par contre si une femme porte plainte pour harcèlement ou violence de la part de son conjoint, là, silence radio les magistrats s’en foutent royalement. La dame est tué quelque jours plus tard, mais ce n’est pas grave! pour eux la vie continue dans la joie! Combien de salopards ont été relâché alors que leur état mental était mis en cause par les psychiatres?
Dégouté!!!!!