Les élections américaines vont prendre place la semaine prochaine et les pourcentages d’intentions de vote indiquent un écart minime entre les candidats… le suspense reste entier !
L’importance des « swing states »
Bien que chaque citoyen puisse voter, le système de l’élection repose sur des États-clés, appelés swing states ou « États pivots. » Dans ces États, le résultat des votes est souvent très serré et peut basculer en faveur de l’un ou l’autre candidat. Par contraste, certains États sont historiquement favorables à un parti spécifique, comme la Californie, traditionnellement démocrate, ou le Texas, généralement républicain. Les candidats concentrent donc leurs efforts de campagne sur les États où l’issue est incertaine, car c’est là que les quelques voix de différence peuvent décider du résultat final.
Rappel : des élections particulières
Les élections présidentielles américaines, qui se déroulent tous les quatre ans, sont marquées par une organisation complexe et un enjeu stratégique de taille. Plutôt qu’un vote direct pour le président, les électeurs américains votent dans chaque État pour des représentants appelés « grands électeurs. » Ces derniers composent le Collège électoral, une institution chargée de désigner le président. Pour être élu, un candidat doit obtenir la majorité absolue de ces grands électeurs, soit au moins 270 sur 538.
Un écart très serre entre les candidates de 2024
En 2024, la compétition entre les candidats Kamala Harris pour les démocrates et Donald Trump pour les républicains est particulièrement intense. À une semaine de l’élection, les sondages montrent des écarts très serrés. Au niveau national, Kamala Harris recueille environ 49 % des intentions de vote contre 48 % pour Donald Trump, un écart qui a fortement diminué depuis l’annonce de la candidature de Harris, alors légèrement en tête.
Dans les swing states, les sondages indiquent des résultats souvent encore plus serrés. Par exemple, Trump et Harris sont à égalité avec 48 % des intentions de vote au Nevada et en Pennsylvanie. Dans le Wisconsin, Harris mène de justesse avec 49 % contre 48 % pour Trump, tandis qu’au Michigan, elle obtient 48 % contre 47 % pour le candidat républicain. À l’inverse, Trump bénéficie d’une légère avance en Géorgie et en Arizona, avec 49 % contre 48 % pour Harris dans ces deux États. En Caroline du Nord, la dynamique est fluctuante, et au 29 octobre, Trump y est crédité de 49 % des voix contre 48 % pour Harris.
Impossibilité de prédiction
Ces écarts minimes rendent le résultat final très difficile à prédire, d’autant plus que les sondages avaient sous-estimé le soutien à Trump lors de l’élection de 2020. Ainsi, chaque voix compte dans ces États décisifs, où la campagne est particulièrement intense, et le suspense demeure entier jusqu’à la publication des résultats.
Go Go Trump président a 100% , il faut changer la face du monde .
car trop démocratie tue la démocratie
regarde notre belle FRANCE qui deviens une grande POUBELLE au monde
c est clair qu avec l argent des contribuables francais….et la planche à billets de Lagarde, on peut faire des miracles…..c est nocif tout ca.
Je souhaite pour la stabilité du monde que Trump soit élu, l enjeux est hyper important derriere ces élections.
Que ce soit l’un ou l’autre ne changera pas grand chose à ma vie, mais cette anti-trumpisme propagé par le service public m’énerve au plus profond et me ferait voter Donald sans hésitation, si mon vote était sollicité.
Kamela est la candidate de la bienpensance, des bobos, des vedettes televisés.
Ni l’un ni l’autre n’ont une affection particulière pour la France.