TikTok se retrouve au cœur d’une polémique juridique en France. Sept familles se sont unies pour lancer une action en justice contre la célèbre plateforme de partage de vidéos, accusée d’exposer les jeunes utilisateurs à des contenus préjudiciables. Cet événement marque un nouveau chapitre dans la quête de régulation des géants du numérique.
Une action judiciaire pour protéger les mineurs
Une démarche pionnière s’organise en Europe avec l’assignation de TikTok au tribunal judiciaire de Créteil par un collectif de familles, sous le nom Algos Victima. Elles dénoncent l’exposition de leurs enfants à des vidéos faisant l’apologie de pratiques dangereuses telles que le suicide et l’automutilation. L’avocate des familles, Laure Boutron-Marmion, signale que les algorithmes de la plateforme créent un « enfermement psychologique », favorisant le passage à l’acte.
Le point de départ de cette procédure repose sur des cas dramatiques, tels que le suicide de deux adolescentes de 15 ans, Marie et Charlize, victimes de harcèlement, et diverses tentatives liées à l’influence négative de TikTok. L’avocate mentionne des tutoriels explicites sur l’automutilation et des vidéos incitant à l’ingestion de médicaments pour se suicider, mettant en lumière l’importance de la modération des contenus sur les plateformes sociales.
La quête d’une reconnaissance de faute et de réparation
Les familles impliquées dans cette assignation en justice espèrent obtenir une reconnaissance de faute de la part de TikTok et une réparation pour les préjudices subis. Ce recours collectif soulève la question de la responsabilité des réseaux sociaux dans la protection de leur jeune audience. Les parents expriment un sentiment d’impuissance face à la crainte permanente de perdre leur enfant à cause de ces influences en ligne.
Avant que l’affaire ne soit examinée au tribunal, un échange contradictoire est prévu par écrits entre l’avocate des familles et TikTok, qui devra se faire représenter par un avocat. Cette confrontation judiciaire vise à remettre en question les pratiques de TikTok et à stimuler une réflexion plus large sur les régulations nécessaires au sein de l’univers des réseaux sociaux.
En parallèle à ce combat judiciaire, ce cas met en exergue le besoin d’une vigilance accrue des parents et d’un cadre législatif fort pour encadrer les activités des plateformes digitales susceptibles de nuire à la jeunesse. La communauté attend avec impatience les développements de cette affaire et ses potentielles répercussions sur l’industrie des médias sociaux.
Le capitalisme n’a pas grand chose à voir là dedans ! Les contenus des médias en URSS, en Chine à Cuba et maintenant en Corée du nord ne doivent pas être particulièrement sympathiques. C’est toujours la même chose : ce désordre généralisé vient juste du manque de volonté des parents, des juges et de l’état. L’éducation bienveillante est une catastrophe, ça va faire cinquante ans qu’on nous chiale là dessus et les résultats sont lamentables. Quand en sus les mères isolés, pondeuses pour que le mari entre ses quatre épouses n’ait pas besoin de travailler grâce aux allocs, confient l’éducation des enfants aux dealers de la cité ça n’arrange rien !
Solution : arrêtez de fournir des téléphones portables à ses enfants.
Quand ils pourront s’en payer un, avec un abonnement téléphonique, alors ils seront moins en danger.
« Ah oui, mais toute la classe au collège a un portable maintenant à notre époque hein ! » bah, oui et si tout le monde se jette à poil dans le canal, normal, votre enfant peut faire de même. C’est logique.
C’est un abrutissement de nos jeunes cet accès illimité aux réseaux sociaux.
Quelle idée de laisser sa fille de 13 ans créer un compte fb, insta ou en tiktok ?
C’était inutile à l’époque, on s’en sortait très bien; ça l’est toujours aujourd’hui.
On y voit des jeunes filles se dénuder et faire la p.te ! C’est une société de décadence, stupide, de bas niveau et ne sachant plus écrire. Passant des heures à regarder des vidéos courtes en boucle, au lieu de lire des livres, faire des activités ou du sport.
Tout cela est voulu par nos grandes instances et notre société capitaliste. Du muselage, du conditionnement à long terme et enfin une génération future désorientée malléable à souhait.
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complètement d’accord avec vous, quelle jeunesse de tarés….!