La justice comporte parfois des failles qui permettent à des individus en attente de jugement de retrouver temporairement la liberté. C’est le cas d’un homme accusé de plusieurs agressions sexuelles, remis en liberté suite à une erreur administrative.
Une erreur judiciaire mène à une libération imprévue
Un homme, déjà connu des services judiciaires et condamné pour atteinte sexuelle sur mineur en 2000, a bénéficié d’une remise en liberté suite à une erreur de procédure. L’individu avait été arrêté en Espagne et incarcéré pour violences sexuelles présumées sur plusieurs femmes, en 2003, 2005 et 2006 à Paris selon une source proche de l’affaire.
L’accusé profitant d’un vice de forme
Malgré la gravité des accusations et les condamnations antérieures, l’accusé a exercé son droit de requérir une libération. Sa demande devait être étudiée dans un délai précis (20 jours) qui a été dépassé, le menant à une libération automatique bien que strictement encadrée avec des mesures de surveillance électroniques et des restrictions de déplacements.
Un suivi sous contraintes
En plus du bracelet électronique, cet homme est soumis à une assignation à résidence avec interdiction de se rendre à des lieux précis, notamment Paris, où certaines des infractions auraient été perpétrées. Cette vigilance permettrait de prévenir tout risque de récidive durant la période de liberté de l’individu.
Des interrogations sur la gestion du dossier
Cette libération pose la question de l’efficacité et de la réactivité du système judiciaire français. Les citoyens et les victimes présumées s’inquiètent de la mise en liberté d’un individu présentant un potentiel danger, tandis que les autorités tentent d’apporter des assurances quant à la capacité de surveiller le suspect pendant l’attente de son jugement.
Il s’agit de gens ayant choisi « d’attendre sans s’en faire que l’heure de la retraite sonne » Vous ne voudriez quand même pas qu’ils fassent bien leur travail en plus ? Entre le calcul des congés maladie qui leur restent, des congés enfants malades qu’ils n’ont pas encore pris, et pour les plus ambitieux : des congés allergies ou des congés règles douloureuses encore en vue, et si ça se trouve une petite grève ils n’ont de temps pour rien !