L’annonce de l’ex-Première ministre peut surprendre dans le contexte économique actuel. Le gouvernement cherchait à faire 40 milliards d’économies avant d’être censuré lundi 2 décembre. Pourtant, peu avant, alors que Michel Barnier avait déclaré vouloir réduire les dépenses liées aux anciens Premiers ministres, Élisabeth Borne n’a pas hésité à exprimer son désaccord.
Matignon plaidait pour des coupes budgétaires
Michel Barnier était l’invité du «20 heures» de TF1 dimanche dernier. Il avait alors appelé la classe politique à donner l’exemple en matière d’économies. Le Premier ministre expliquera que son gouvernement cherche à réaliser 60 milliards d’euros d’économies pour le budget dont deux-tiers de coupes dans les dépenses publiques, soit 40 milliards. Il avait annoncé qu’il souhaitait des «améliorations dans le train de vie de l’État». Et, pour commencer, le locataire de Matignon voulait réduire les dépenses attribuées aux anciens Premiers ministres. Il avait ainsi appelé à «un effort aux anciens ministres et aux anciens Premiers ministres pour (en) réduire le fonctionnement». Mais Élisabeth Borne prendra la parole dès lundi pour évoquer ses problèmes de «sécurité».
Pour Élisabeth Borne, cette solution «n’est pas la bonne»
Sur France 3, elle expliquera que «ce qui est pris en charge, quand on est un ancien premier ministre, c’est une voiture qui accompagne la protection, la sécurité qui vous est assurée». Et d’ajouter: «Si Michel Barnier pense que je n’ai pas de problèmes de sécurité…». Elle estimera qu’une «protection et une sécurité lui paraissent adaptées» en raison des réformes «pas toutes populaires» qu’elle a pu prendre lors de son passage à Matignon. Elle prendra comme exemple le texte sur les retraites ou celui sur l’immigration, qu’elle a portés durant son mandat. Dans le rapport de la députée LR Marie-Christine Dalloz sur le sujet, le montant concerné en 2023 était d’1,42 million d’euros.
Le but de tout cela c’est la destruction de la France parce qu’elle est chrétienne. Ce sera le premier pays à toucher le fond, mais aussi le premier pays relevé…. Et ce ne sont pas les « Saints Dicat » (sic) qui y seront pour quelque chose…. Les manifestations sont manifestement comme toujours, une occasion de tout casser et de gêner à l’évidence ceux qu’ils sont sensés défendre… La meilleure défense des gouvernants contre les manifestants, ce sont les casseurs disait Charles Pasqua. La lutte des classes déclasse: échec et mat assuré !
Ceux qui oseront dire la vérité suivront Colluche, Kennedy et tant d’autres…
Quand donc les politiciens de tous bords se résoudront ils à œuvrer pour la Nation,et non pour leur satisfaction personnelle ?
Lorsqu’un salarié donne sa démission, ou qu’il est licencié, il n’a droit à rien ce qui est logique . Alors cette vieille bique d’Elisabeth Borne devrait fermer sa grande gueule !!! Tous ces ex-premiers ministres et ex-présidents de la République nous coûtent une fortune !!!
Oh de plus en plus tout le monde finit par se rendre compte de la seule et unique raison qui pousse ces hauts fonctionnaires dans la politique : c’est d’augmenter encore leurs avantages. Cette bande de paresseux, planqués dans le fromage dès la sortie de l’école, imagine encore être la noblesse et faire travailler les serfs à les enrichir. Si je me souviens bien elle a vaguement travaillé dans une société d’autoroutes (qu’elle a d’ailleurs honteusement favorisée), avant de magouiller dans la politique. Qu’elle y retourne ce sera mieux pour les couillons qui paient
Elle ne se sent pas gênée, en plus outrée, elle ferait mieux d’être outrée pour ceux qui ont du mal à boucler leurs fins de mois aussi je ne pense pas qu’elle s’est décarcassée pour eux, comme tous les socialistes intéressés car ils vont manger dans tous les rateliers du moment que cela leurs rapportent, pourris jusqu’à la cheville….
L’hypocrisie socialiste, dans toute sa splendeur…!
Voilà ! Est-il utile d’en dire plus pour que vous compreniez ? Les français sont là pour payer et ce n’est pas aux politicards de faire l’effort, ni les industriels, ni les riches. Enfin, pas par ceux qui détiennent l’argent.