crédit image @adobe stock / Arbres dans la foret
La communauté de Brenas dans l’Hérault a été bouleversée par la découverte tragique de Teresa, une mère de famille de 6 enfant âgée de 43 ans, portée disparue depuis le 2 décembre, et qui avait laissé ses deux plus jeunes enfants à la crèche et à l’école maternelle d’Adissan ce jour-là
La découverte douloureuse
Le samedi 21 décembre a marqué une fin tragique à la recherche active de Teresa. Portée disparue depuis le début du mois, c’est avec désolation que son corps a été localisé par un randonneur à environ 500 mètres de la sortie du hameau de Le Mas Bas. Cette découverte a eu lieu non loin de sa voiture, une Citroën C3 grise, stationnée de façon inquiétante au même emplacement depuis un certain temps. L’identification du corps, trouvé suspendu à une branche d’arbre, a été confirmée, laissant la communauté endeuillée.
L’enquête progresse
Avec la réalisation d’une autopsie dans les jours à venir, les enquêteurs espèrent déterminer les circonstances précises du décès de Teresa. Le procureur de la République de Béziers, Raphaël Balland, a déclaré que la démarche serait complexe en raison des conditions climatiques difficiles. Parallèlement, des images de caméras de surveillance à Clermont-l’Hérault ont montré la voiture de Teresa le jour de sa disparition, ce qui pourrait apporter de précieuses informations à l’enquête.
Les circonstances entourant le décès
Actuellement, la thèse de suicide est envisagée par les autorités après avoir écarté d’autres pistes. L’entourage de Teresa, et notamment son mari, a été interrogé. Aucun indice, comme une lettre d’adieu, n’a été retrouvé chez elle et ses effets personnels comme son téléphone ainsi que ses papiers étaient restés à son domicile.
le suicide est une explication facile pour ceux qui n’ont pas envie de s’emm.. à une enquête. Dans le coin justement à Narbonne, une cousine qui rejoignait son mari et ses enfants serait partie dans la neige en talons haut se jeter dans un canal (qu’elle ne connaissait pas) à 2 km de la gare en se déshabillant avant de plonger… Même chose pour Jean Boullet journaliste, illustrateur, homo, qui aurait installé un noeud coulant au plafond de sa chambre d’hôtel et sauté sur son lit pour passer la tête dans le noeud coulant. Mais là c’était en Algérie la police a aussi conclu rapidement au suicide…
48 ans et 6 enfants …devait pas être trop heureuse
Bizarre, bizarre!
Saura t on un jour ce qui est arrivé?
Dans ce milieu, en principe, c’est l’omerta, je crois!