L’agression sexuelle aurait pu tourner au viol de rue. La victime, une femme de 54 ans qui se rendait à son travail vers 5h du matin, a été attaquée en pleine rue par un individu âgé de 29 ans et de nationalité bolivienne. Il était en France depuis un mois environ. Si les faits se sont produits le 6 septembre dernier, le verdict sera rendu le lundi 23 décembre par le tribunal correctionnel de Nîmes. L’assaillant sera condamné à cinq ans de prison ferme et une interdiction définitive de territoire national.
L’accusé nie les faits et parle d’un simple vol a l’arraché
Le président du tribunal, Jean-Michel Perez, racontera à la barre ce que la victime a subi. «J’ai senti que quelqu’un me suivait. Alors j’ai ralenti le pas et il m’a dépassé. Au moment de tourner dans une autre rue, j’ai senti un bras qui m’attrape par-derrière. Il l’a passé sur mon cou et m’a étranglé. De son autre main, il m’a empêché de crier. J’ai réussi à le frapper au visage. Il m’a alors attrapé par les cheveux et jeté au sol. Il s’est mis à genoux sur moi, en serrant fort ses jambes et m’a frappé. Puis il m’a touché à trois reprises le sexe», lira-t-il durant l’audience. En effet, la victime n’a pas pu rester dans la même pièce que son agresseur et a quitté le tribunal quand son bourreau y est entré. Ce dernier, interrogé sur les faits, dira simplement qu’il voulait la voler.
«1 minute 40 qui auront suffi à faire basculer sa vie»
L’avocate de la victime, Me Laurie Hamel, expliquera au tribunal à quel point cette agression a changé le cours de la vie de sa cliente. Elle s’en sortira avec de nombreux hématomes sur le visage et le corps, ainsi que des mèches de cheveux arrachés. Son agresseur lui touchera à trois reprises son sexe mais ne parviendra pas à la violer. Le procureur du tribunal de Nîmes, Philippe Ughetto, au vu du casier déjà bien chargé du prévenu et déjà condamné à huit ans de prison au total pour des faits de violences en Espagne, va requérir cinq ans de prison avec un maintien en détention et une interdiction de territoire national de 10 ans. Le Bolivien sera condamné à cinq ans de prison avec maintien en détention et une interdiction définitive de territoire national.
Il faut le punir sévèrement en lui coupant le zizi !!! Couic, zizi parti !!!
Et retour en bolivie après !
Pauvre femme…
Que dit Manon Aubry ? Les migrants sont si gentils !
Manon Aubry ??? C’est une moins que rien, un déchet de la société !!!