Le président algérien Abdelmadjid Tebboune ©Wikimedia Commons
Les forces de l’ordre auront interpellé six «influenceurs» algériens ces deux dernières semaines. Parmi eux, il y a celui qui se fait appeler Doualemn sur les réseaux sociaux. Expulsé du territoire jeudi dernier et renvoyé dans son pays d’origine, dont il possède la seule nationalité, les autorités algériennes l’ont renvoyé en France immédiatement. Il avait été placé en centre de rétention administrative (CRA) avant d’être présenté à un juge de la liberté et de la détention. Ce dernier s’est prononcé pour son maintien en détention 26 jours de plus.
Une crise franco-algérienne inédite depuis 1962
Depuis la reconnaissance de la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental, l’Algérie n’a de cesse d’attaquer, voire d’humilier, la France chaque jour un peu plus. À savoir si ces «influenceurs», dont certains sont suivis par plus de 400.000 adhérents, sont sous la coupe du pouvoir algérien, la réponse viendra de l’un d’eux. En effet, ce week-end sur Europe 1, interrogé sur cette question, l’un des algériens concernés répondra qu’«ils suivent le pouvoir algérien dans ses décisions et ses prises de positions». Pour Alger, les expulsions d’algériens relèvent du racisme et d’un positionnement à l’extrême droite. Les avocats de Boualem, véritable prénom de l’influenceur concerné, ont d’ailleurs estimé que «la détermination particulièrement féroce dont a fait preuve le ministre de l’Intérieur à l’encontre de Boualem s’inscrit dans un contexte ultra-répressif des personnes étrangères».
Selon Bruno Retailleau, «l’Algérie cherche à humilier la France»
Comme d’autres ministres et responsables politiques, de Gabriel Attal à Sarah Knafo, le ministre de l’Intérieur attend une réponse qui ne peut venir que de l’Élysée. Parlant du cas de cet influenceur, le locataire de Beauvau a rappelé que «les autorités algériennes n’ont pas voulu le laisser débarquer sur le sol algérien, en contradiction totale avec les règles». Pour le gouvernement algérien, cette expulsion est «arbitraire» et a été exécutée par «une extrême droite revancharde et haineuse». Malgré ce contexte d’humiliations quasi quotidiennes, le silence d’Emmanuel Macron se fait de plus en plus lourd.
Le gouvernement algérien ne comprend que le rapport de force.
Or à part Retailleau (qui a les mains liées par la cour constitutionnel) le gouvernement et surtout notre président sont faibles, les algériens nous marchent dessus !!
Je ne sais pas qui pourra rétablir l’ordre en France ??
Mais je ne suis pas loin de penser que si nous avons pendant cinq ans Donald Trump et sont administrations ils redresserait la France en 5 ans !!
S’il n’a que la nationalité algérienne et qu’il n’est pas menacé dans sont pays, la France se doit de l’expulser définitivement sans lui accorder un quelconque droit d’asile
Marre d’accueillir les racailles qui crachent sur notre pays