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Le corps sans vie d’une femme de 64 ans, présentant de nombreuses blessures à la tête, a été retrouvé à son domicile. Rapidement, son fils de 36 ans, vivant sous le même toit depuis plusieurs mois, est devenu le principal suspect.
Un aveu troublant et sans explication
Interpellé dans un hôtel à Rennes après une courte cavale, l’homme a rapidement avoué le meurtre de sa mère lors de sa garde à vue. Selon les déclarations du parquet de Brest, le trentenaire a reconnu l’avoir frappée à mort avec une pierre. Cependant, ce qui rend ce drame encore plus opaque, c’est l’absence apparente de dispute ou de conflit préalable. Aucun mobile clair n’a pu être déterminé jusqu’à présent les enquêteurs dans l’incompréhension face à ce geste tragique.
Un parcours de vie instable
Le suspect, qui avait emménagé chez sa mère après une séparation, souffrirait de troubles psychologiques. Ces éléments pourraient jouer un rôle dans l’analyse des raisons ayant mené à ce crime. Il a été mis en examen pour « meurtre sur ascendant », une qualification criminelle particulièrement grave. En attendant son procès, il a été placé en détention provisoire, la peine maximale encourue étant la réclusion criminelle à perpétuité.
Une enquête en quête de réponses
Les forces de l’ordre poursuivent leurs investigations pour reconstituer précisément les circonstances du meurtre. L’objectif est de mieux comprendre les raisons ayant poussé cet homme à commettre cet acte d’une violence extrême. La justice et les experts espèrent apporter des réponses aux proches de la victime, frappés par ce drame familial.
C’est bien pratique pour les avocats « les troubles psychologiques »…