Les faits se sont déroulés le 3 février 2025, à la gare d’Austerlitz, dans le XIIIe arrondissement de Paris. Un individu a été grièvement blessé après avoir été pris pour cible par des agents de la Sûreté ferroviaire (SUGE) de la SNCF. Les agents ont ouvert le feu après que le suspect, qui était en train de taguer des croix gammées sur un mur, ait pointé une arme factice en direction des membres des forces de sécurité présents sur les lieux. Le mis en cause est décédé à la suite de ses blessures mardi en fin de matinée.
Des croix gammées et une arme factice
L’incident s’est déroulé dans l’après-midi, vers 15 heures. D’après les informations recueillies par nos confrères du Parisien, des agents de la SUGE ont réagi en voyant l’homme commettre des actes de vandalisme, lorsqu’il a soudainement brandi une arme en direction des agents de sécurité de la SNCF. En réponse à cette menace, les forces de l’ordre ont fait usage de leurs armes, blessant gravement l’individu. Selon le quotidien régional, les secours ont procédé à un massage cardiaque pour tenter de sauver la victime, mais son état restait préoccupant. Mardi midi, nous avons appris que l’auteur des croix gammées avait succombé à ses blessures. L’incident a également fait une deuxième victime. En effet, une personne non impliquée dans l’altercation a été légèrement blessée au pied. L’identité du mis en cause n’a pas été communiquée à la presse.
Perturbations du trafic ferroviaire et déploiement de forces de sécurité
Suite à cet événement, la gare d’Austerlitz a été totalement fermée au public et les opérations de sécurité ont été renforcées. Le parvis de la gare a été bouclé par les autorités, tandis que des policiers et des militaires, déjà présents dans le cadre du plan Vigipirate, ont été déployés pour assurer la sécurité de la zone. Le trafic ferroviaire a été gravement perturbé, notamment sur les lignes du RER C, Sur son compte X, la SNCF a indiqué que «la gare de Paris-Austerlitz n’est pas desservie, dans les deux sens de circulation, jusqu’à 16h15». Le fait que l’individu ait été en train de taguer des symboles néonazis comme les croix gammées a également suscité de nombreuses interrogations sur ses intentions et le contexte de cet acte de violence. Le parquet de Paris a annoncé avoir ouvert deux enquêtes, confiées à la police judiciaire de la préfecture de police. La première porte sur les «violences sur personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée de mission de service public». Tandis que la seconde concerne les «violences avec arme par personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée de mission de service public».
Donc une enquête sur les personnes chargées de la sécurité…..comme d’habitude…..sinon grosse question : le tagueur de croix gammées aura-t-il une croix sur sa tombe ?
Sait on s’il avait sa carte à LFI ?
Là, pas de frais pour le contribuable et on a pas à chercher à savoir s’il avait des problèmes psychiatriques! Mais je plains les policiers car ils risquent d’en faire les frais, eux! Heureusement la grande majorité des Français les soutient si on en croit les sondages.
Attendons l’enquête… mais serait-ce un nazislamiste pro-hamas ? 🙁
Un déséquilibré de plus ? 🙁