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Bruno Retailleau, ministre de l'Intérieur ©Alamy
La France a été une nouvelle fois frappée par le terrorisme islamiste samedi 22 février. La ville de Mulhouse a été le théâtre d’une attaque au couteau perpétrée par un individu de 37 ans, Brahim A., faisant un mort et plusieurs blessés. L’assaillant, un ressortissant algérien sous OQTF et connu des services de police pour son profil schizophrène et ses antécédents d’apologie du terrorisme, a crié «Allah Akbar» lors de son acte meurtrier. Cette tragédie a ravivé les tensions autour de la politique migratoire française et ses relations avec l’Algérie. Cette nouvelle attaque met en lumière les failles du système migratoire français et la nécessité d’une coopération renforcée avec les pays d’origine des migrants. Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, se positionne clairement en faveur d’une ligne ferme avec Alger, appelant à des réformes législatives et à une fermeté accrue dans les relations diplomatiques.
Des attaques sans précédent dans toute l’Europe
Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a réagi immédiatement. Dans une interview accordée à TF1, il a mis en cause l’Algérie pour ses multiples refus d’accueillir le suspect, malgré une obligation de quitter le territoire français (OQTF) en vigueur. «Une fois de plus, c’est le terrorisme islamiste qui a frappé. Et, une fois de plus, j’ajoute que ce sont les désordres migratoires qui sont aussi à l’origine de cet acte terroriste», a-t-il déclaré. Le locataire de Beauvau a souligné que Brahim A., né en Algérie et arrivé illégalement en France en 2014, avait été condamné à six mois de prison pour apologie du terrorisme après les massacres du 7 octobre en Israël. Malgré une expertise psychiatrique révélant un profil schizophrène et une assignation à résidence avec obligation de pointer quotidiennement au commissariat, l’Algérie a refusé à dix reprises de le reprendre.
L’Algérie complice des crimes et délits commis par ses ressortissants
«Voilà un individu qui aurait dû être accepté par l’Algérie. L’Algérie l’a refusé à dix reprises. À dix reprises, mes services ont relancé le consulat algérien sans jamais que celui-ci n’accepte quelqu’un qui était né en Algérie», a rapporté Monsieur Retailleau, plaidant pour un «rapport de force» avec Alger. Le ministre de l’Intérieur a également appelé à une réforme du droit pour mieux gérer les individus dangereux en situation irrégulière. «Il faut changer le droit», a-t-il affirmé. Et d’ajouter: «Pour ces individus très dangereux, je pense qu’il faudrait une rétention. Des peines de sûreté. Pour les maintenir, tant qu’on ne peut pas les renvoyer, en centre de rétention».
Cette attaque intervient dans un contexte de débat national sur la sécurité et l’immigration. Le ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a annoncé la tenue d’un conseil interministériel de contrôle de l’immigration mercredi 26 février, afin de discuter des mesures à prendre pour éviter de nouvelles tragédies. L’enquête, menée par le Parquet national antiterroriste, se poursuit avec quatre gardes à vue en cours, dont celle de l’assaillant.
L’Algérie ne veux pas les reprendre, pas de problèmes, remettre la peine de mort en vigueur. Je suis persuadé que ce pays et ses dirigeants vont vite changer d’avis
Ras le bol de toute cette racaille algérienne !!!
Algérie complice ! 🙁
Il faut tout leur couper à ces racailles…
L’Algérie doit reprendre ses fous ! Nous n’avons ni à nourrir, ni à garder en France, un assassin, un délinquant, un violeur… Qu’on les renvoie en bateau, comme ils sont venus, par les passeurs ! pourquoi pas. Au moins, ces mafias nous serviraient à quelque chose.
Pour cela il faut changer de gvt et surtout de président car ils en renvoient 1 sur 10, quel record.?